Hamadryades

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⚠️TW: suicide⚠️

La mythologie grecque rapport l'existence des nymphes des bois appelées hamadryades dont la vie dépendait de l'arbre qui les abritait. L'auteur grec athénée en décrit huit types, chacun étant associé à un arbre différent, comme le mûrier, le peuplier noir, le figuier ou l'orme. Elles n'aimaient pas voir des humains dans leurs forêts, car elles redoutaient plus que tout la hache des bûcherons.

Histoire bonus:

Nouveau travaille, nouvelle vie. Ce n'était pas forcément le travail rêvé, lui qui adorait petit jouer à cache-cache entre les épis de maïs, compter le nombre de pâquerettes allonger sur la douce herbe, écouter le chant des oiseaux. Mais il le fallait. Sa famille comptée sur lui.
Hache à la main, le ventre bien remplie, Amédée suivait le groupe de bûcherons qui l'emmèneraient à la clairière temps convoité pour son bois de qualités.
Arrivé à la clairière, il se rua sur un arbre pour commencer à l'abattre. Plus le nombre d'arbres était élevé plus cela lui rapporterait pour sa famille et lui.
Voir les arbres au sol lui serra le cœur, mais il le fallait, pour sa survie. Amédée enjamba le 4 arbres couper pas ses soins et se dirigea pour en couper un 5e. Seulement, au moment de donner son 1er coup de hache, il fut arrêté par une jolie voix mélodieuse. La voix semblait pleurer la perte de quelque chose ou quelqu'un.
Cherchant d'où venait ce son mélodieux, Amédée se tourna inconsciemment vers l'arbre à côté de lui, approcha sa tête, colla son oreille contre le tronc et écouta.
Un sandwich à la main Amédée ne pouvait se concentrer sur la discussion de ces camarades tant, il était obsédé par cette voix qui continuait à résonner dans sa tête. Il semblait envoûter.
Le travail de l'après-midi fini Amédée décida de se reposer près du mystérieux arbre qui chante. Seulement Amédée tomba dans un profond sommeil.
De nouveau réveiller, Amédée repensa à son rêve. Il eut l'impression que des mains lui massaient le dos et lui caresser tendrement les joues. Il crut même entendre une voix l'appeler.
Le lendemain Amédée de nouveau sur le chemin de la clairière espéra au plus profond de lui recroiser l'arbre magique. C'est ce qu'il fit. Mais une fois seule dans cette clairière, Amédée étant posé une fois de plus sur cet arbre, il se produisit un événement qui chamboula la vie d'Amédée. L'arbre chantant se transforma en une magnifique femme rousse.
Les bûcherons aillant fini leurs travaux repartir chez eux sans faire attention qu'ils laissaient une fois de plus Amédée seule dans la clairière.
Cela fessait trois mois et demi qu'Amédée rejoignait Thaïs, sa belle rousse, dans la clairière. Les deux tourtereaux s'entendaient à merveille. À chaque rendez-vous Thaïs lui chantait une douce chanson dont elle seule avais le secret.
Fou. C'est ce qu'il était devenu. Sa princesse avait déposé un baiser de cristal sur ses lèvres. Et c'est en revenant à la maison qu'il décida d'en parler à sa mère, elle, Thaïs, Amédée était sûr que c'était la femme de sa vie.
Fou, il l'était de plus en plus. Sa mère, contre l'amour humain et hamadryades avait enfermé Amédée dans sa chambre jusqu'à ce qu'il oublie la belle Thaïs.
Cette fois, il l'était vraiment, la folie l'avait emporté. Amédée avait réussi à se libérer de chez lui. Il avait couru jusqu'à la clairière. Hélas, il arrivait trop tard.
Mort. Il avait rejoint ça belle dans l'au-delà. Elle s'y douce si belle, c'était suicider pensant que son amant l'avait oublié.



PS: Le suicide n'est pas quelque chose à prendre à la rigolade. Si vous avez des problèmes parler en.

Recueil du ParanormalOù les histoires vivent. Découvrez maintenant