La trahison du prisonnier

Prologue: Le nom

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Création : 31/12/2014 à 11:35 Mise à jour : Aujourd'hui à 13:28

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Prologue: Le nom

 
Il était tôt le matin. Une ravissante jeune femme était assise au bord d'un grand lac aux reflets orange dus au lever du soleil. Ses pieds trempaient dans ce liquide froid. La douce brise faisait voler ses longs cheveux aux éclats ardents, portés par un vent d'automne. La belle jeune femme ferma ses beaux yeux cuivre. Elle leva la tête vers cette boule de feu, toute petite encore à l'horizon, quand un beau jeune homme posa délicatement sa main sur son épaule. La belle, tourna vivement la tête en un petit sursaut. Une larme translucide coulait sur sa joue rosée.
-Crois tu qu'un jour on serra heureux.
-Ne t'inquiète pas, ne pense pas au passé, ni au futur, mais pense au moment présent. Regarde ce magnifique paysage. Je suis sûr que l'on aura un vie que tout le monde jalousera dans ce petit chalet.
La rouquine détourna le regard, et fixa le magnifique spectacle donné par Dame Nature, juste sous leurs yeux.
-Tu as peut être raison... Mais...
Le jeune homme aux yeux marron aux reflets violet, posa un doigt sur la bouche de sa bien-aimée.
-Chuut...
Il approcha son visage tellement proche qui sentait son souffle chaud, sur sa peau, et leurs lèvres s'effleurèrent, puis se heurtèrent, et elles ne se décrochèrent plus. Il la déshabilla doucement, en lui faisant des caresses sur toutes les parties de son corps. Puis se fut à son tour de le soulager de ses tissus. Tout deux, corps à corps, au bord du lac, avec un lever de soleil en arrière plan firent l'amour sur l'herbe fraiche du matin.
 
**
 
Neuf mois plus tard, on pouvait entendre une femme hurlait de douleur. Des goutes de sueur, perlaient sur son front, et des larmes chaudes coulaient sur ses joues. Il y avait du sang qui souillaient les draps blanc du lit. La belle aux cheveux alezan mettait au monde un enfant. Une petite fille. Son compagnon lui serrait fort la main.
-Courage, tu vas y arriver.
Puis les cris s'arrêtèrent et des pleures apparurent. Le tout nouveau père lâcha la main de sa femme et prit le nouveau né dans ses bras, lui fit un baiser sur le front ce qui la calma et le bébé ouvra ses beaux yeux.
-Regarde ma chérie, elle a les mêmes yeux que moi.
Le jeune homme n'entendant aucune réponse, se retourna et fut surprit, il posa délicatement l'enfant dans le berceau qu'ils avaient tous deux créé, puis se précipita vers sa muse, des larmes pleins les yeux.
 
**
 
Quatre ans plus tard une petite fille sautait dans les feuilles morte et se roulait dedans. Son père lui courait après.
-Tu ne m'attrapera pas !
-Revient à la maison, tu vas attraper froid avec cette tenue.
-Mais... J'arrive...
Le père de ce petit bout de chou lui pris la main et ils rentrèrent tout deux dans la petite maisonnette.
-Tu sais quel jour on est aujourd'hui ?
-Oui c'est le jour de mon anniversaire. Maintenant je suis une grande fille j'ai quatre ans.
-Exacte, tu es ma grande fille. J'ai un petit quelque chose pour toi.
-C'est quoi !!
La fillette sauta partout dans le chalet en essayant de trouver le cadeaux que sont père lui avait fait. Elle chercha dans sa chambre, dans celle de son père, puis dans la cuisine, dans le salon. Il n'y avait rien. Elle retourna bredouille voir son papa.
-Je le trouve pas...
-Ne pleure pas ma petite chérie, dit il en séchant ses larmes. Il y a un endroit que tu as oubliée de chercher.
-Mais je sais pas... Pourquoi tu rigoles... C'est pas gentille de se moquer de sa fille.
-Tien ma puce.
Il sortit le paquet de sa poche. C'était une petite boite bleu avec un petit ruban gris et le tendit à sa fille qui le défit doucement. Elle l'ouvrit et vue une paire de boucle d'oreille en forme de losange. Elle s'empressa de les mettre et sauta au cou de son père.
-Merci papa, je les adore je ne les quitterais jamais.
-J'en suis heureux mon cœur.
La petite fille effaça sont sourire.
-Papa ?
-Oui ?
-... Maman, elle revient quand. Tu m'as dit qu'elle était partie après ma naissance. Mais elle reviendra quand ?
-Je sais pas, elle ne m'a rien dit...
-D'accord. J'espère la rencontrais un jour.
La fillette, se remit à courir, dans le jardin et à se rouler dans les feuilles mortes de l'automne. Son père la regardait du coin de la fenêtre.
-Elle est comme ça mère pensa t-il.
 
**
 
Par une nuit froid de décembre, un an après la quatrième anniversaire de la petite, deux hommes encapuchonné s'approchaient dangereusement de la maisonnette.
Le père sentit quelques choses de chaud se collait contre lui et se blottir dans ses bras telle un petit chat.
-Papa, j'ai fait un cauchemar...
-Raconte moi, ce vilain rêve.
-Il faisait nuit et on était en hiver, comme maintenant. Il y avait deux homme qui s'approchaient doucement de notre maison mais surement. Il était tout les deux habillaient en noir. Puis ils entrèrent, mais l'un des deux se tapa contre notre table et...
La fillette s'arrêta net.
-Qu'es ce qu'il y a ma puce ?
-J'ai cru entendre un bruit... Ça doit être mon imagination. Enfin bref. L'un des deux homme se tapa contre notre table. Ensuite, après les remontrance discrète de l'autre homme, ils se dirigeaient de plus en plus de ta chambre et j'étais avec toi aussi et ils sont entrés dans la chambre et...
-Ne pleure pas, ce n'étais mauvais rêve.
A la fin de c'est mots, deux homme déboulèrent dans la petite chambre, l'un des deux, le plus jeune, prit la petite fille et l'emmena à l'extérieure en attendant que son compagnon et finit son travail.
L'autre homme qui était rester sortit un couteau et menaça le père.
 
La fillette se débattait mais ne parvenait pas à s'enfuir des bras musclé qui la cramponnée. L'homme lui attacha les mains dans le dos et la fit rester debout contre le mur du chalet.
-Ne bouge pas de là, sinon tu le regretteras.
-Oui...Oui...
Puis au moment ou son agresseur tourna la tête pendant quelques seconde, elle lui donna un coup de pied à l'endroit intime de son assaillant, et couru dans la maison, dans la pièce ou était rester son père.
Il était allongé sur le sol, du sang sortait de son ventre.
-Otoooosaaaaan
Le blesser ouvrit les yeux, sa fille pleurer à genoux devant lui.
-Otoooosaaaaan !!! Je t'aime ne meut pas j'ai besoin de toi Otoooosaaan !!!
-Je... Je t'aime aussi m-ma petite ché-chérie.
Il toussa en crachant du sang.
-Je serais toujours là pou-pour toi.
-O-otosan ?
Son père voyant les deux hommes arrivait posa sa main sur la joue de sa fille.
-Vie pour nous deux. Vie pour ta mère. Vie ma chérie.
La fillette les larmes plein le yeux se fit attraper et prendre par les deux malfaiteur.
 
**
 
Un homme marchait dans les couloir du grande forteresse. Il arriva devant un homme.
-Pourquoi m'as tu fais venir ?
-C'est à cause d'elle monsieur.
-Encore cette petite impertinente.
Il l'attrapa par les cheveux et la souleva jusqu'à son visage. La petite se débattait les larmes au yeux.
-Qu'as tu fais encore ? Erza Scralette.