Chapitre 1 : La fuite

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Le vent soufflant dehors faisant naitre un froid glacial. Une jeune fille isolée des autres pleurait à chaude larme dans sa cellule. Elle ne parlait à personne elle était seul. Se sentiment d'impuissante, fasse aux gardes,elle le ressentait bien. Elle voulait se rebeller, mais comment voulez vous que qu'une fillette de 10 ans y arrive seul. Ça faisait déjà cinq ans aujourd'hui même qu'elle était coincée ici. A travailler comme une esclave, à se faire fouetter des qu'elle n'avait plus de force à se faire huer quand elle n'arrivait plus à porter de grosses pierres ou à piochez dans la roche dur. Elle n'avait même pas un ami à qui se confier dans les moments difficiles. Pourtant ils étaient tous dans le même bateaux. Mais elle rester seul. Seul, jusqu'au jour ou...


Les portes de la cellule s'ouvrirent, deux gardes accompagné un enfant à l'étrange chevelure bleu, qui se laissait faire sans même protester.

-Voilà ta nouvelle maison railla l'un deux.

Les grilles se refermèrent pour laisser place au bleuté debout au milieux de la pièce le regard vide et à la rouquine assise dans un coin les jambes replié sur sa poitrine.

-Bonjour.

Le garçon tomba à genoux, serrant les poins, des larmes glacials coulaient sur son visage pâle. Erza se leva et posa une main tremblante sur son épaule pour lui transmettre un peu de courage, même si elle n'en avait pas elle même.

-Je comprend ce que tu ressens dit elle, j'ai vécu la même choses que toi il y a exactement cinq ans. Cinq années que je suis enfermée ici, toute seule, avec de la peur. Que tu sois ici parce que tu as fait un acte malveillant ou que tu sois la parce que l'on t'as emmener de force. Je ne te laisserais pas vivre ce que moi j'ai vécue toute ses années. Je serais toujours là pour toi alors si tu le souhaite défoule toi sur moi, que se soit en actes ou en paroles.

Sans voir venir quoi que se soit, une main frappa avec rage la joue de la petite fille, et le bleu se leva doucement et poussa la rouge au sol, son dos craqua sous le choque, elle se releva sur les coudes, elle pleurait, elle s'en fichait de ce qu'il était entrain de faire elle voulait simplement le libérer de sa tristesse. Elle ne voulait pas qu'il vive la même choses qu'elle. Ses souvenirs apparurent comme une vague froide, la torture qu'elle seule se procurait à force de s'en vouloir, une image, celle de son père. Il était mort par sa faute, elle n'avait pas su le protéger.

Les yeux de la fillette étaient emplis de larmes bouillantes, le jeune garçon s'arrêta, là regarda en se bessant et la serra dans ses bras.

-Je suis désoler.

-Ce n'est rien répondis-elle en l'enlaçant à son tour.


**


Le lendemain matin Erza fut réveillée, comme tous les matins, par la cloche, ils avaient une minute pour rejoindre la salle principal avant de se faire fouetter pour cause de retard. Le bleu, n'avait pratiquement pas fermer l'œil de la nuit, elle l'avait entendu proférer d'innombrable injure sur un homme, dont le nom mystérieux était «il». La rouquine le réveilla en douceur.

-Bonjour, il est tant d'aller travailler.

-...

-Suis moi je t'emmène.

Ils marchèrent dans les couloirs ou d'autres prisonniers se joignèrent à eux au fur et à mesure qu'ils avançaient. Ils arrivèrent dans une grande salle avec d'incalculable tunnels.

Un homme d'un certain âge avec les traits sévère et une longue barbe blanche monta suivit de sa gardes rapprochait, sur une estrade, parcourut la salle des yeux puis se racla la gorge et fit signe au bleuté de le rejoindre.

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⏰ Dernière mise à jour : May 13, 2015 ⏰

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