Etudiante

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Assise dans le métro, j'essaie de me distraire en regardant les corps autour de moi. Une silhouette de dos me tape tout particulièrement dans l'œil, il s'agit d'une femme grande et élancée qui doit avoir la trentaine. Elle porte une jupe cintrée sans collant, ce qui me permet d'apprécier les courbes parfaites de ses jambes. Sa chevelure châtain est toute rassemblée sur son épaule droite, laissant la peau de sa nuque un peu à découvert.

Je commence à avoir un pressentiment étrange, et j'attends impatiemment qu'elle se retourne pour me dévoiler son visage. Cela ne tarde pas à arriver, et la surprise est immense : il s'agit de mon ancienne prof de lycée, qui en m'apercevant esquisse un large sourire en écarquillant les yeux, et s'empresse d'aller vers moi pour me saluer. Je suis toute troublée d'avoir fantasmé sur ma prof sans l'avoir reconnue et je peine à lui cacher ma gêne...
Elle me demande si tout va bien et, dans la panique, j'improvise en lui disant que je ne me sens pas bien dans les transports. Elle me saisit aussitôt le bras et m'emmène sur le quai juste avant que les portes du métro ne se referment.

Elle semble à son tour gênée d'avoir été si audacieuse, mais je la remercie pour la rassurer de son action. Elle me demande alors si je suis pressée et me propose de boire un verre pour parler de ce que je deviens. J'accepte sans réfléchir et la suis à travers les tunnels, avant d'arriver enfin à la surface.

Nous nous posons dans un café, en terrasse car il est bondé à l'intérieur. Il fait un peu froid, mais j'oublie facilement ce désagrément car je suis en face d'une femme qui me fait beaucoup d'effet. Je sais que nos statuts et notre différence de génération font que rien n'est possible, mais j'aime me créer un fantasme toute seule dans ma tête.
Après seulement quelques minutes à discuter de mes études, une averse se met à nous tomber dessus et, de nouveau dans une situation d'urgence, ma prof me propose d'aller poursuivre ce verre à l'abris dans son appartement, qui se situe dans la rue d'à côté. Une nouvelle fois, j'accepte sans hésiter.

Arrivées dans son petit appartement, elle m'invite à aller poser mon manteau sur son lit. Lorsque je me retourne pour quitter la chambre, je m'aperçois avec stupeur qu'elle me regarde fixement. Son regard n'est plus du tout le même qu'à l'extérieur ; de toute évidence, il y a d'autres intentions dans ses yeux. Je rougis alors fortement de la voir ainsi les yeux braqués sur moi, je veux dire quelque chose pour briser cette gêne mais ne parviens qu'à balbutier quelques syllabes sans le moindre sens. Ma prof se dirige aussitôt vers moi et, pour calmer ma nervosité, prend mon visage entre ses mains et m'embrasse délicatement sur le coin de la bouche.
Elle savait, depuis le départ, que je l'observais, ma façon de la dévorer du regard... Mais je ne me doutais pas que cela lui avait fait autant d'effet. Je me sens comme dans un rêve et peine à croire que mes fantasmes deviennent réalité.

Après quelques baisers et des gestes tendres qu'elle me donne pour me rassurer, ma professeur m'ordonne subitement de retirer tous mes vêtements. Timidement, je commence à enlever mon haut, puis je descends mon pantalon et elle me saisit le menton en me donnant l'ordre de la regarder dans les yeux pendant que je me déshabille. Ma gêne se mêle alors à une excitation fulgurante, son autorité m'intimide et me plaît. Il ne me reste que ma culotte. Elle déboutonne son chemisier en se rapprochant de moi, puis j'enfouis mon visage dans sa poitrine tandis qu'elle pousse un soupir de satisfaction en passant sa main dans mes longs cheveux bruns. Son autre main caresse l'intérieur de ma cuisse, je sens une chaleur grandir en bas... Aussitôt, elle interrompt la tendresse du moment en me poussant légèrement en arrière, ce qui me fait m'asseoir sur le lit, et elle retire ma culotte et prend mon sexe dans sa bouche. D'une façon vigoureuse traduisant son excitation extrême, elle suce mon sexe tout en me fixant de ses yeux pétillants et pleins d'assurance. En même temps, elle prend ma poitrine dans ses mains et joue avec. Ma prof fait tout ce qu'elle veut de mon corps et j'aime ça.
Tout en poursuivant énergiquement son entreprise avec sa bouche, elle parvient à retirer sa jupe et commence à se toucher et à gémir légèrement. Soudain, elle se redresse et me grimpe dessus, m'embrasse dans le cou puis entre mes seins tandis que ses deux mains sont placées sur ceux-ci. Voyant que je m'abandonne à elle, son visage descend de nouveau vers mon sexe. Ses cheveux glissent sur ma poitrine puis mon ventre, me faisant de légères chatouilles. Cette fois, elle lèche l'intérieur de mes cuisses comme pour me frustrer. Je la regarde alors d'un air suppliant, mais elle continue d'éviter scrupuleusement la zone sensible et place sa main autour de mon cou, comme pour me dire que c'est elle qui décide.

Elle se met ensuite à califourchon sur moi et je sens mon sexe rentrer en elle. Elle doit particulièrement aimer dominer, car elle est très mouillée. Tandis qu'elle bouge sur mon corps, ses seins remuent et elle se mord la lèvre comme pour ne pas gémir trop fort. Je veux l'entendre prendre du plaisir, je donne alors des coups de reins pour aller plus profond en elle. Un petit cri s'échappe de sa bouche, qu'elle couvre aussitôt de sa main.

Voyant que je suis de plus en plus excitée de la voir vulnérable devant moi, elle interrompt la pénétration en se levant et en m'ordonnant de me mettre à quatre pattes. Je m'exécute, me demandant ce qui m'attend. Je sens brusquement une main s'appuyer sur ma tête pour l'écraser dans l'oreiller. Puis, une langue s'agiter autour de mon anus, et rapidement une fessée qui vient me surprendre de plus belle. Je lâche complètement prise face à cette femme dominatrice que je découvre. Tout en continuant de me lécher, elle stimule mon sexe. Envahie d'une chaleur exquise, n'en pouvant plus, je me mets à jouir. Mon gémissement est beaucoup plus sonore que ce à quoi je m'attendais, bien que j'essaie de l'étouffer dans l'oreiller.

D'une claque sur les fesses, elle m'ordonne de me mettre à genoux au sol, ce que je fais sans plus attendre. Elle place son sexe sur ma bouche et agrippe mes cheveux pour guider mes mouvements de tête. J'ai envie de lui caresser les jambes pendant que je la lèche, j'hésite car je n'ose pas toucher le corps de ma prof sans sa permission. Je garde donc mes mains entre mes cuisses, et mes bras ainsi resserrés compriment un peu mes seins l'un contre l'autre. Je la regarde d'en bas en la léchant, elle me regarde d'en haut. Elle me dit que je suis belle quand je me dévoue à elle. Elle me supplie de continuer ainsi. Mêlés de souffle, les gémissements de sa jouissance se font entendre. J'accélère alors mes coups de langue, j'aurais voulu que ses gémissements ne s'arrêtent jamais.

Épuisées, nous nous couchons sur son lit. Elle me fait signe de venir poser ma tête sur sa poitrine, et elle caresse ma nuque pendant que je m'endors doucement.

Étudiante Où les histoires vivent. Découvrez maintenant