Le début de la Fin

Chapitre6; Hadès

Elle s'endort dans mes bras, elle est si jolie, elle a garder la chemise que je lui avait passer. Il faut que je me ressaisisse ce n'est pas moi! Il faut pas que je m'attendrisse. Je m'endors tout doucement, demain soir il y a un vernissage il vas falloir aller sur terre notre peau particulière, grisâtre pour ma part ou rose pale pour ma petite, lorsque nous allons sur terre sans renoncer a son statue notre peau deviens humaine.

Je me réveille tôt ce matin, a l'aube pour le monde dans haut. On ne s'est pas quitté des bras toute la nuit. Arrêt ce n'est pas toi, l'amour rend faible! Je chasse cette pensé qui me ramène a la raison, Perséphone et juste là pour me donner de la compagnie. En la regardent dormir dans le lit que je viens de quitté elle me cherche de la main comme si cela faisais 10 ans que l'on était marié comme si c'était normal que je dorme avec elle. La chemise est un peu remonter laissant apparaître son ventre si se gonfle sous sa respiration paisible. Je l'admire encore un peu et sort a la main mes affaires. Je pars me changer d'un pull et abandonne mon jogging pour mon jean.

En partant je n'oublie pas la viande pour Cerbère, mon chien a trois tête qui est de la même taille qu'un berger allemand contrairement a ce peux dire la mythologie. Puis m'élance hors de mon royaume.

Au contact du soleil en dehors des enfers ma peau deviens beige. Je me dirige vers une boutique de robe de cocktail. J'opte pour une robe rouge passion en satin avec le haut sans manche avec une fente mi cuisse et le dos en dentelle. J'imagine Ma petite dans cette robe me regardent avec ces yeux pétillants et son sourie d'or.

Je rentre au enfers je n'entend rien a pars les âmes hurlais leurs douleurs. Je cherche Perséphone j'arrive et Ma petite est assise par terre la tête dans ces genoux en pleure. Énerve je crache au chien.

«Assez vas au porte! Elle lève la tête les yeux humide et les joues trempés, Cerbère par au courant aux portes. Je m'approche d'elle et lui tend la main.

«Ça va aller?

-Oui merci plus de peur que de mal.

-il n'est pas méchant, il est très méfiant, il garde la pote des enfers

-Cerbère!

- comment...

- Zeus ma expliquer qu'il y avait un gros chien a trois têtes qui garder enfers, d'un côté dans mon esprit il ma toujours fait peur.

- je comprends. Ce soir nous avons une soirée tiens un petit cadeau. Je lui donne le sac qui contient la robe, elle l'attrape délicatement, défet le nœud qui le ferme. La robe se déplie et les yeux de ma petite qui s'écarquille et elle se jette dans mes bras.

-Merci merci, elle est trop belle!

- Content que cela te plaise.»

On vas dans le salon, juste avant elle est aller dans la salle de bain pour prendre une douche et se changer, elle a un jean noir des bottines de la même couleur ainsi qu'un haut rouge a épaules dénuder. j'étais poser sur le canapé en train de lire, elle arrive mets ses cheveux sur son épaule droite et elle s'assoie a coter de moi. Je la vois perplexe puis elle se tourne vers moi et me demande.

«Pourquoi tu as des habits femme dans la chambre ou je dors. Je redouter cette question.

- C'étaient a Némésis, la déesse de la colère, ma nièce.

- Pourquoi elle ne l'est a pas?

- Elle a disparu et d'un coter j'espère un jour qu'elle revienne.

- Excuse moi, on regarde un film?

- Si tu veux.»

Il est bientôt l'heure de partir, je suis dans ma chambre en train de mettre un costume et comme toujours je n'arrive pas a faire ma cravate, je vais dans le couloirs espérant voir Perséphone. Effectivement je la vois elle est magnifique dans sa robe l'odeur de son parfum de rose me parviens au nez.

«Wow, tu est magnifique Hadès

- Je te renvois le compliment, juste tu peux m'aider pour ma cravate?

- J'ai jamais fais mais je veux bien essayer.»

Perséphone s'approche de moi elle manipule le tissue de la cravate, je la vois froncés les sourcils. Ma petite arrive enfin a faire la cravate et je l'embrasse sans réfléchir ça ma échapper. Je sens ses mains se poser sur ma nuque, Perséphone prolonge se baiser. Que est ce que je fais?

Une fois qu'on s'écarte je la remercie pour ma cravate, nos respiration son haletantes on va prendre nos chaussures ensuite on pars sur la terre.

Nous arrivons devant une galerie qui mets inconnue, elle a de grande bais vitré qui montre les personnes qui s'y trouve et on distingue presque les toiles, les lumières sont d'un blanc pur qui se reflète dans le sol bois claire. Une fois rentrer nous commençons a faire le tour des toiles toute faite de deux couleurs noir et blanc. Elles représentent majoritairement une petite fille qui est sale, triste. Ma petite et mal de regarder la souffrance de cette fille.

Une seule toile sort du lot, elle est en couleur. Le peintre viens nous voir, c'est un homme hautin prétentieux narguant.

«Bonjours! Vous aimer cette peinture? Elle représente le diable et sa femme j'ai imaginer comment pourrais êtres ces deux dieux. Hadès n'est pas un vrai dieu et puis disons le mais qui pourrais aimer une personne comme ça, méchante, qui veux que le mal autour de lui en plus qui vis sous terre entourer d'âmes et son chien a trois têtes qui s'appelle Carber je croix. Suis a sa il ris au éclat.

- Hadès est quelqu'un de très gentil et bienveillant, du moins c'est ce que je pense. Perséphone est tout aussi énerver que moi. Qui il est; un intensifient petit humain, que peux t'il savoir de moi?

Chaque personne peux l'aimer il faut juste creuser en lui apprendre a le connaître et ne pas s'arrêter a se qu'on raconte!

- Comme si tu l'avais vu se matin!»

Suite a cette altercation on sors et Perséphone regarde les arbres sans feuille alors que c'est l'été, Déméter...