Introduction

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Cette histoire commence à Ilion autre fois cité recluse la ville abrite aujourd'hui quelques milliers de personnes. Parmi ces personnes se trouvent quatre garçons, les garçons « MALADES » .
Ceux-ci ne sont pas malades à proprement parler, ils sont simplement différents mentalement et/ou physiquement. Et pour marquer leurs authenticités la société les a mis à par et appelés les « malades » .
Ses garçons s'appellent Aarone, Léo, Victor et Michael. Chacun d'entre eux est différent de se que leur impose la société. Et c'est en les faisant souffrir que le monde les réprime.
Se matin là comme tout les matins depuis la rentrée, ils se dirigeaient ensemble vers leur collège, au sommet de la colline.
Il veillait sur Ilion et leurs habitant, disait-on.
Sous les feuilles de l'automne nos héros montèrent la colline comme tout les étudiants de « Antoine Belingham », l'établissement que dirigeait la mère de l'un d'eux, Victor.
Une fois arrivé devant leur collège, il tombèrent sur Tom, leur ancien ami reconverti en brute. Se garçon châtain, aux yeux noisettes, tout à fait banale les avait laissé il y a sept ans car ils étaient trop étranges pour lui et qu'il subissait lui même les moqueries de ses camarades. Ainsi il s'était mis à se moquer à son tour. Sans pour autant avoir un grand esprit, il avait du muscle et barrait la route de ses anciens amis. Michael s'avançât déterminé et pris la parole d'une forte voix : « Laisse nous passer ! » il n'y avait rien de plus à dire. Se garçon d'une chevelure charbon avait une forte personnalité, qui ressortait tout autant que ses yeux bleus clair. Malheureusement Tom n'était pas du genre à réfléchir et se mit à rire avant de s'exclamer :
- « Haha! Désolé ! Les « malades » n'entre pas !
- Ho tu trouves ça drôle peut-être ? C'est bizarre ça ne me fait pas rire moi ! » Répliqua Aarone en pensant qu'il ne se laisserait pas faire cette fois-ci.
- « Pourquoi je laisserai des « malades » rentrer? hein ?
- Parce que ma mère te virera si elle le sait ! »
Déclara Victor. Tom réfléchis un moment avant de demander : « et qu'est-ce que j'aurais en échange »
Puis une très belle fille blonde et gracieuse qui se trouvait derrière s'approchât de la brute avant de lui chuchoter : « Ne t'embête pas avec eux, viens, je ne veux pas être en retard aujourd'hui ! »
Les deux s'en allèrent et laissèrent passer les quatre garçons. Puis une fois assez éloignés de ses deux-là, Léo s'exclamât: « Pour une fois que ma sœur est un avantage ! »
En effet il s'agissait de sa sœur jumelle, ou plutôt son plus grand fiel. Car ils se détestaient profondément.
Après cela ils allèrent en cours, tous était dans la même classe, comme toujours, la classe maudite des malades. Tout les « malades » de leur âge était réunis dans cette classe car ils était loins d'être les seuls. Parmi eux se trouver, des roues, des « dys », des handicapés mentaux et/ou physique, des myopes, etcétéra. Malgré la large gamme de « maladies » il n'était qu'une classe de vingt-deux élèves. Les « malades »étant si réprimés que la plupart d'entre eux étaient tuer à la naissance.
La sonnerie retentit et les élèves rentrèrent dans la classe. Et sans surprise, (car il le faisait depuis le début de l'année) le professeur fis le signe du dieu de l'ordre avant de rentrer en classe et de les rabaisser.  M.Gomez était exécrable avec tout ses élèves mais particulièrement les élèves « malades ». Il était professeur de Sciences mais il ne parlait que du système scolaire dans la plupart de ses cours en se plaignant du droit à l'éducation pour les « malades », parfois même il lui arrivé d'être vulgaire mais personne n'osait lui en faire par. Encore moins Léo qui s'était visiblement lassé d'entendre son professeur crier, il s'était encore perdu dans ses pensées, mais cette fois-ci il regardait son ami Aarone, se garçon qu'il appelait dans ses rêves « sa perle de feu » était l'amour de sa vie.
Il n'était pas compliqué de tomber amoureux de ce rouquin attendrissant. Ses cheveux bouclés tombaient sur ses yeux, tout deux d'une couleur différente, l'un bleu l'autre vert. Comme s'ils n'avaient pas su se mettre d'accord, peut-être ses yeux étaient-il aussi indécis que celui qui les portait. Des taches marrons couvraient presque tout son corps et faisaient ressortir la pâleur de sa peau qui parsemée de bleus et d'égratignures semblait douce et lisse. Sa petite taille disait-il lui faisait défaut mais l'on y voyait plutôt un garçon mignon.
À côté de cela, Léo se sentait laid, celui-là avait milles complexes, il se détestait, sans doute à cause de sa sœur parfaite.
« Qui voudrais d'un imbécile comme moi ? » Se disait-il. Contrairement à se qu'il pensait, Léo était plutôt bel homme. Qui ne voudrait pas d'un grand blond aux yeux bleus marine ? Se serait peut-être une question plus correcte mais il ne le voyait pas du tout sous cet angle.
La journée continua presque comme celle de la semaine passée. Ils tournaient dans un triste tourbillon monotone.
Quand vint le moment de rentrer, ils se séparèrent à la rue Gallier en deux binômes. Victor et Michael d'un côté et de l'autre Léo et Aarone. C'était une question de chemin mais cela les arrangeaient bien. Léo raccompagna donc son ami chez lui, sa mère l'attendait de pied ferme. Elle était debout, les bras croisés, devant l'immeuble.
Christine Charles était une mère célibataire depuis la naissance de son fils Aarone. Le père l'avait quitté dès la naissance du bébé, il ne voulait pas d'un enfant « malade ». C'était pourquoi sa mère le détestait profondément, tellement qu'elle en devenait souvent violente avec son fils. D'où la présence des nombreuses blessures sur sont corps.
Aarone disait au revoir à Léo avant de se diriger vers sa mère. Elle le pris par le col de sa veste et le tira à l'intérieur. Puis dans un gros bruit de claquement de porte, Léo se retrouva seul et rentra chez lui en pensant qu'un jour cela changerait.
De leurs côtés, Michael raccompagner Victor chez lui. Ce n'était pas loins, la directrice habitait avec toutes sa famille au même endroit. Les frères et sœurs de Victor était toujours en va et viens jusqu'à l'heure du dîner.
Dans cet version du monde, si un enfant ratait le dîner, il ne mangerait plus jamais grâce à ses parents. C'était l'ordre des choses. Évidemment si l'enfant y était obligé ( dans un kidnapping par exemple) cela ne valait pas mais encore fallait-il le prouver.
Heureusement chacun put rentrer chez lui pour le repas se soir là.

Les garçons malades Où les histoires vivent. Découvrez maintenant