Ce monde est putréfaction et mortel
Les hommes couinent, rouges de joie, tels
Des porcs attendant l'abattoir délavé
Et pris dans la folie et enclavé
Ils se mordent les joues, lls vibrent !
Mais non, ils sont bien loin d'être libres
Ce sont des rochers immobiles
Des éternels assis
Des cochons
Des
Des
Des vautours
Peut être
Je
Ne
Les
Comprend
Plus
Et, J'ai des joues à mordre
Je pars, il faut que je rentre
Et le ciel me comtemple, hein tu est heureux toi avec tes imbéciles nuages, ciel je te méprise ! Je te hais ! Je n'aime que l'ombre, que le venin, que les corbeaux, je te hais soleil, je te hais avec tes rayons pâles plus échancrés qu'une croupe de femme. Et toi le corbeau, aime moi ! dis-je le visage illuminé de larmes. Aime moi... je je je, suis psylocibe, je hais la lumière, je n'aime que les sous-bois. Je serais Oblomov jusqu'à la fin de ma misérable existence,
Il
Faut
Que
Je m'en aille, adieu ! corbeaux, porcs, soleil, nuages voluptueux et aiguisées pour un ciel bientôt rouge rouge rouge de notre sang.