J'ai fini par pensé que j'étais réellement comme ça.
Et c'est là , qu'on voit le plus vicieux dans l'histoire mais pourtant je l'aimais, je l'aimais tellement que j'ai fini par l'aimer mal. Et parfois vous savez par amour on s'oublie, on en vient à se perdre et à se laisser aller. Parc ce qu'on aime donc on se dit « ça me suffit » , puis on pense que ça ira , alors que dans le fond ya rien qui va.
Et j'ai fini par me dire qu'il fallait que j'arrange tout, quand ça n'allait pas entre nous, parce que j'étais convaincu que sans lui j'allais être larguée et complètement fermé à tout.Vous savez ? Ce besoin de ce voiler la face quand ça compte, quand vous avez besoin d'aller au bout de la chose même si vous avez tout les signes du monde qui montre que ça ne vaut plus la peine de pousser plus loin. Parce que y a cette envie d'y croire ne ce reste qu'une toute petite dernière fois, avant de nous laisser complètement tomber.
Puis surtout, il y avait la peur, l'appréhension de l'après , du renouveau , d'une nouvelle vie, car c'était soit lui soit rien du tout. Parce que j'ai préféré mourrir par amour pour lui, que mourrir en étant seule et triste.
Parce que je me suis longtemps cherché à ses côtés , je me suis longtemps demandé qui j'étais et ce que je méritais ou pas d'avoir dans ma vie , je me suis longtemps dis que je méritais tout ça , tout ce mal, toute cette souffrance et cette incompréhension de la part des personnes que j'estimais le plus. Longtemps je m'en suis voulu d'être parti tant de fois alors que j'avais besoin de nous.
Mais vous savez, sachez-le, on ne devrait pas avoir besoin d'amour, d'être heureux avec quelqu'un, on devrai pas ce suffire que du « j'en ai besoin et c'est tout c'est comme ça ». Parce que j'estime que le besoin signifie dépendre, dépendre c'est douloureux, parce que quand tu na plus rien, il te reste quoi appart toi-même ?
Parce que mon sourire n'était véritable qu'auprès de lui.