Seuy seuy bi

30K 1.9K 15
                                    

Amdi dall

Je suis dans mon salon d'en bat les mains entre la tête je suis un peu pensive je ne cesse de penser à la réaction de ma femme quand elle saura que j'ai pris une deuxième femme je peux pas m'empêcher de pensé à cela telle je la connais elle en fera tout une drame crise cardiaque mo nara guen touti si limou nara deff surtout bou yeuger ni Binetou Zakhra là tak No je préfère ne pas y penser

Instant yi je dois me concentrer sur ma petite femme d'antan plus que dada elle est en voyage pour 1mois no je vous dit une personne aussi gniak kilifa que dada n'existe pas bimouy deme elle n'a même pas pris la peine de m'informer dafa bayi mba yégueu sogu ma wo pour me dire je suis aller en voyage pour un mois j'ai besoin d'air etc motakhit sou gnibiser dîna fi féke moromam nespas respecté wouma elle fait ce qu'elle veut milni man je suis pas son mari elle verra de quel bois je me chauffe Lima ko may mo eupe je était trop gentille jusque là
Mes allons rk !





Je suis devant la porte de ma chambre à relouquer ma femme tellement elle est jolie J'ai de la chance d'avoir une femme aussi belle femme enplus d'être intelligente elle est trop une bonne personne tout le contraire de ma sorcière astafurla

Moi : femme de ma vie !!

je m'approche d'elle et lui caresse les cheveux

Elle souri et se cole à moi Et me volant une baise

zakhra : firdawsi fonékon en boudant khar nala basone

Moi : wa daguay mér j'étais juste dans le salon à réfléchir de ...

Elle me coupe la parole et met son doit sur mes lévre shut ne pense plus à rien je suis là et je vais bien m'occuper de toi sa nakare diekhena tay me dit-elle en me regardent tendrement elle caresse mes barbe et se mordille la lèvre inférieure

Khalei bi dîna ma ray rk tellement elle a de l'assurance
Je m'approche dangereusementde de ses lèvres et les captures elle émet un gémissement et je presse ses grosses fesse no corps fesais qu'un elle était vêtue d'une pagne blanche et d'un petit busitier tellement elle était naturelle aves ces melon qui pointer le ciel on s'embrasser comme des fou

Aldjana sori woul fi dh yén

gniarèl Kharitou DieukeureumOù les histoires vivent. Découvrez maintenant