Avis ?

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Alors déjà bonjour, comme vous avez pu le voir c'est pas un autre chapitre mais plutôt une demande d'avis sur un essai. Je voudrais juste savoir se que vous en pensez. C'est totalement diffèrent de mon autre histoire. Disons que celle ci est un peu plus pencher sur le meurtre. Donc n'hésitez pas pour donner votre avis. Positif ou négatif les deux m'aideront beaucoup. Et cet extrait vous plait alors vous pouvez le retrouver sur mon compte. Merci d'avance

 Adossé à un bar en plein centre ville de Moscou à une heure tardive, me voilà entrain de joue à mon jeu favori, la chasse. Ma proie n'est d'autre que le célèbre proxénète , Mr Invario. Stéphane Invario, un homme âgé d'une trentaine d'année originaire d'Italie mais qui à pris des vacances à Moscou. Étrange coïncidence, c'est là où je suis actuellement non pour des vacances mais pour le travail, un travail peu habituelle.

Je sirote ma boisson en le surveillant du regard. Monsieur est entouré de prostituées et de son groupe ''d'amis'' si on peut dire ça.
Après avoir fini mon verre, je pars sur la piste de dance de la boîte de nuit. Je commence à danse toute en le regardant. Je me déhanche pour l'attire dans mes filets. Je le vois se lever et marché dans ma direction. Quelques instant plus tard, je sens des mains sur mes hanches. Je sais que c'est ma cible. Je passe mes mains derrières sa nuque. On commence un collé serre. Je commence un déhanché tout en me collant à lui. Ma main gauche quitte sa nuque pour descendre le long de son torse jusqu'à son entre jambe. J'exécute une légère pression sur son membre.
Il lâche un grognement. Il m'attrape ma main et m'emmener dans un endroit privé. Il ouvre la porte et m'emmener à l'intérieur. On se retrouve dans un couloir. Il me fait entre dans une chambre;

Je jeter un coup d'œil dans la chambre, aucune caméra ni micro. Je le pousse sur le lit et l'attache grâce aux chaîne accrochés au mur. Les chaines servent pour le côtes soumis dominant du sexe. Il me regard d'un regard pervers. Je me mets à califourchon sur lui. Je déchire sa chemise et lui retire son pantalon.
-Alors, mon cher Stéphane, on a été un vilain garçon. dis je d'une voix sensuelle.

- Un très vilain garçon, ma belle. réponds il d'un regard pervers.

- Tu m'a volé de l'argent plus des armes. en sortant une dague.

Des gouttes de sueur perle sur son front. Il essaie de se débattre mais il est tenu parle les chaînes.

- J'ai rien fait. Je vous le jurer. me supplie-t-il

- Tu mens. On vas joue à un jeu. Tu connais le jeu des milles coupures, il consiste à t'entailler la peau. Si tu t'évanoui tu as perdu et je te réveiller avec un seau d'eau et on recommence. Si tu hurle tu as perdu. dis je en me frottant les mains excité.

⚠️Âme sensible s'abstenir⚠️

Je sors . Un sourire sadique se dessine sur mon visage. Je fais danser mon couteau sur sa peau sous ses hurlements. Je sourire, la torture m'avait manqué ce sentiments de puissance sur une personne. Se que j'aime dans la torture c'est de montre aux gens qui sont faibles et que j'aurai toujours mes réponses. Je lui enlevé petit à petit la peau du visage. Se qui est curieux c'est que sous le nez on n'a pas de vaisseaux sanguin mais si on dérive le sang commence à coule d'abord doucement puis de plus en plus. Se que j'adore dans la torture c'est que je peux assouvir ma curiosité sur des être humains en vie et c'est dotant plus passionnant. J'adore le sang, je trouve que c'est très intéressant que sa soit sa couleur ou même sa texture . Après cette tâche fini, je m'attaque à ses bras. Je fais glisser mon couteau sur son haut du bras, des fines blessures puis de plus en plus profondes jusqu'à sectionne la main. J'aurais bien voulu continue à joue les docteurs mais j'ai autre chose à faire.

⚠️⚠️⚠️

Je me redresse et sans plus de cérémonie je l'abats une balle dans la tête. Après avoir récupéré mes affaires, je quitte la scène de crime avant d'appeler les flics avec son téléphone.

Faut savoir une chose, si on commets un crime. Il ne faut pas disparaître de la circulation sinon on a des chances qu'on soit suspect de meurtre. Le mieux est de reste visible, c'est se que je fais en ce moment. Je suis assise à une table dans un café à six heures du matin entrain de boire un café noire. Le café est situé à quelques rue du meurtre. Vous vous doutez bien que je ne suis pas vêtu de la robe avec laquelle j'ai commis le meurtre. Non celle là je l'ai balancé dans un fossé avec le 9mm qui a servi à tué ma victime ainsi que son téléphone où je l'ai fais brulé à l'essence. Les policiers sont arrivé un peu après que je sois arrivé au café. Sérieusement, la police d'ici sert strictement à rien et c'est même pas drôle . Je m'étais prépare à une embuscade ou meme une fusillade avec des représentent de la loi. Mais non ils ont pas fichu de faire leurs boulot correctement. Je me lève et après avoir payer je pars du café. Je rentre à l'hôtel que j'avais réservé pour l'occasion. Je passe par une ruelle peu éclairé. J'en est un peu marre de ma vie. Non je ne veux pas mettre fin à ma vie mais je voudrais changé un peu mon quotidien. J'en ai marre des meurtre disons que c'est un peu répétitif.

Un coup de feu de me fait sortir de ma rêverie. Le bruit d'un corps tombant à terre me fais tourne la tête. Des hommes habillent en noir se tiennent à quelque mètre de moi. Je crois que le destin n'a pas aimer que je râle et il se vengé, encore un petit con qui est venue me faire chier. Un homme m'aperçoit. Un meurtre impliquant surement la mafia ou même un gang vient d'abattre un type et moi comme une conne je reste planter là. Je suis vraiment conne des fois. L'homme alerte ses copains et cours vers moi. Je crois que c'est le moment où il faut prendre mes jambes à mon cou. Je pars en courant. Une balle passe à coté de ma jambe. Je cours encore plus vite. Bah voilà j'ai ma course poursuite mais pas avec des flics. On m'attrape les jambes et je m'étale par terre. Une personne braque une flingue sur ma tête.

- Je sais pas se qui me retiens pour loger une balle dans ta belle tête ma belle. Dit l'homme qui me menace.
- Comme tu viens de le dire, rien te retiens alors tire. Je pourrais allé en Enfer. Réponds je du voix sérieuse.

Il enlève le flingue de ma tête, étonné . Je sors discrètement un couteau de sa protection. Je me retourne pour être face à lui. Je lui souris d'un air conne et lui plante le couteau dans la jambe. Il hurle, me quelle faible. Je bouge le couteau de la blessure, il pousse un hurlement. J'éclate de rire, franchement c'est un fragile ce mec. Il supporte même pas ça. J'espère pour son patron, qu'il détiens pas d'informations importent sinon il est mort. Se regard exprime de la colère, sa main atterrie sur ma joue. Ma tête, à sa surprise, ne bouge pas. Un autre homme arrive en courant paniqué.

- Mais t'es con Benjamin. Le parrain à dit aucune égratignure. S'exclame l'autre homme

Mon cerveau est entrain d'analyser chaque petit idée de torture pour Benjamin.

- Attends, tu t'appelle Benjamin. Mets quel nom de merde. Dit je en rigolant.

Il s'avance vers moi pour me frappe mais l'autre le bloque et l'emmené loin de moi. Un troisième homme m'attrape le bras et m'emmené dans une voiture. Je monte dedans et on est rejoins par Benjamin et son copain. D'autre homme nous rejoins après avoir mis le corps dans un sac qui le mit dans la voiture. On pars ensuite. On roule pendant un certain temps et je commence légèrement à être fatigué. Je m'endors dans une voiture avec des hommes armé jusqu'au dents. On me réveille en me secouant. J'ouvre les yeux. Je descend de la voiture. Un grand manoir se dresse devant moi. Je n'est meme pas le temps de le contemple que me tire vers l'intérieur. L'endroit est très luxueux pas étonnant pour une mafia. Comment j'ai devines, très simple, un d'hommes à évoque le mot parrain et un parrain est le chef de la mafia. On m'amène à un grand bureau. Un homme se trouve devant une fenêtre. Des tatouages recouvrent ses bars. Habillé d'un costume noir, l'homme se retourne. Je crois que je suis devant le diable. Il est d'une beauté à faire jalousé les dieux. Il est grand, ténébreux. Un barbe naissante de quelque jours.

- Alors voilà la femme qui à blesser un de mes hommes. Dit il d'une voix ferme.

- Sache que s'il vous voulez des excuser vous pouvez vous les gare où je pense. Répond je d'une voix froide.
Il se mets à rigole. Son regard m'observe, m'analyse. Je peux vous dire que j'ai une forte envie de lui faire un doigt. Oui je sais très mature.
- Je ne me suis pas présente. Je suis Vladimir Vinchenso, parrain de la mafia russe et tu est ma prisonnière. Dit il d'une voix froide qui me fait frissonner.   

VENGEANCEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant