J'ai toujours été une personne qui aime essayer de nouvelles choses, en particulier l'interdit, jouer avec le feu jusqu'à ce que je sois brûlé.
Vous souvenez-vous de ces entretiens dans lesquels ils disaient qu'une femme devrait être avec un homme...
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— Que s'est-il passé ici? — cette voix est différente ... Mes yeux scannent de la tête aux pieds un homme en costume qui coûte sûrement mon salaire en une année entière. J'ai exagéré mais ça sent "cher" de loin. Il a des yeux petits qui m'empêchent de voir la couleur de ses pupilles et bien sûr, de longs cils comme s'il avait utilisé du mascara. Dieu est très généreux avec certains êtres humains. Il a une expression très sévère, et la vérité est qu'il impose.
Mais pas cette femme.
—Désolé ,je suis désolée, cette madame m'a arrêté et a jeté le café par terre — De loin, je vois même la peur qu'il ressent. —Est-ce que vous allez arrêter de m'appeler madame ? —Je le regarde. —Alfred j'attend depuis plus de dix minutes. Cela vous semble-t-il normal ? —N-Non,Monsieur Mercader—il s'excuse en regardant le sol. Je remarque comment il transpire sur ses mains. —Tu sais ce qui va se passer maintenant, n'est-ce pas ? — il fronce les sourcils. Merde, même ses sourcils sont parfaits. — Gronder votre employé plus tard, ça m'intéresse qu'il me paie les dommages qu'il a causés —J'interromps la bagarre apparente et son regard se fixe sur moi, me rappelant la poupée de la série «squid game» . — ¿Qui est vous?— Il haussa un sourcil de mépris. — Ce n'est pas vos affaire. —¿Comment dit-vous ? —Il fait un pas en avant mais je me force à garder mon calme. —Êtes-vous sourd? —je lève la tête en signe de défi — Votre employé m'a poussé et m'a versé mon café. Je vous demande de me le rendre, et si vous n'en avez pas l'intention, je vous prie de bien vouloir ne pas interrompre cette conversation.
Son expression est neutre. Je remarque comment il m'analyse avec ses yeux comme s'il s'agissait d'un scanner.
—Savez-vous que avec un simple coup de fil je peux finir avec vous ? Sais-tu qui je suis ? —Demande. —Je me fiche de qui tu es. Appelez le président si vous voulez, je ne partirai pas sans mon café. —¿Vous me défier? —Que remarquez-vous ?
La tension serait palpable même en Chine. Mes parents m'ont appris à ne me laisser intimider par personne,nous finissons tous dans le même trou.
Ce qui semble être son téléphone portable sonne et il jette un coup d'œil, suivi d'une malédiction . Il fait un geste de la main à son employé et comme une âme qui mène le diable s'avance pour ouvrir la portière de la voiture au sujet.
—¿ Où diable pensez vous que vous allez ? ¿Et mon café ? —Prenez et partez.
L'homme me donne plus de billets qu'il n'en faut pour un simple café, il doit être au moins deux cents euros . Alors que je rentre la somme d'argent qu'il vient de me donner, j'entends le crissement d'une voiture et je lève les yeux pour voir Range Rover Vogue s'éloigner.
Actuellement, je ressens une grande impuissance. J'aurais dû râper sa voiture et m'enfuir, au lieu de jeter le café par terre, le lui jeter à la figure et courir à nouveau. Une chemise à chier. Cependant, je garde l'argent, vexé, mais je le garde.
