Toi et moi

5 Le Devoir

Aujourd'hui on mercredi la journée est passée  tellement lentement les professeurs étaient tellement ennuyeux et Alexandre n'arrêtait pas de me voler mes mes affaires alors que je lui est dis que je déteste ça. La je l'attend devant l'école pour que l'on puisses faire une partie du devoir comme on a décidé de le faire plus tôt mais comme d'habitude il est en retard. Le voilà enfin.
- salut Stacy
- tu a 7 minutes de retard
- C'est bon j'avais d'autres choses à faire
Il leva les yeux au ciel puis on parti jusqu'à chez lui.sur le trajet on a beaucoup parlé et une fois arrivé on a fait une partie du devoir puis mon téléphone ce mis à sonné je m'éloignât et répondis.

/conversation téléphonique/

-Bonjour?
-Bonjour vous êtes bien Stacy Foster?
- oui c'est bien moi
- nous sommes l'hôpital du Texas je dois vous annoncer que nous avons les résultats de votre mère nous sommes désolé de vous annoncé qu'elle est atteinte d'un cancer du cerveau et quelle est présentement en route vers l'hôpital pour un temps indéterminé.
- D'accord merci beaucoup.
- au revoir

/Fin de conversation téléphonique/

Puis je senti des larmes couler sur mes joues et je senti mon corps commencé à lâcher mais avant que je tombe parterre je me fi rattraper par deux mains.
- Al.. Alex
- Stacy qu'est-ce qui se passe?
- Rien... je pense que je vais rentrer chez moi
- Veux-tu que je te re conduise chez toi ?
- Non c'est bon merci
Puis je parti chez moi et en arrivant je remarqua l'autobus de ma petite sœur comment j'allais lui annoncé? Elle rentra dans la maison toute joyeuse puis sont expression changa instantanément.
- Elle est ou maman?
- viens t'asseoir on doit parler.
- qu'est-ce qui ce passe?
- maman est à l'hôpital au Texas
- Pourquoi?
- maman est très malade depuis un certain temps et les médecins lui on annoncé qu'elle avait cancer et pour un temps indéterminé nous allons être tous les deux à la maison.
- d'accord
J'essayais de ne pas pleurer pour éviter d'empirer la situation mais extrêmement difficile.

/éclipse d'un mois/

Ça va faire un mois que je vie seule avec ma sœur sans nouvelles de ma mère je me suis absentée à l'école plusieurs jours mais j'avais besoin de me changer les idées.
Je rentrais en cours de sciences et pour une fois Alex était en avance déjà assis à sont bureau.
- salut Alex
- tu étais passé ou pendant presque un mois tu na pas été a l'école tu ne me répondais pas qu'est-ce qui c'est passé?
- j'ai eu quelques problèmes familiaux...mais là ça va mieux
- tu est sur?
- oui t'inquiète.
Le professeur rentra et me scruta comme si j'étais un extraterrestre.
- bonjour tout le monde!
- bonjour monsieur!
- bon comme nous sommes lundi j'aimerais savoir qu'est-ce que vous avez fait en fin de semaine.
Un à un les personnes de ma classe racontait leur fin de semaine et je sentais les larmes venir a cause que j'attendais des nouvelles de ma mère et puis la dernière personne raconta sa fin de semaine.
- moi je suis aller au magasin avec ma mère.
Quand j'entendu le mot mère je ne pouvais plus me retenir de pleurer je prie mais affaire et partie en courant de la classe.

/point de vue Alex/

Les autres personnes raconta leur fin de semaine et tout était calme jusqu'au dernier élève et après avoir fini de la raconter stacy est parti de la classe et sans même savoir pourquoi je la suivit jusqu'à la trouver parterre en larmes
- stacy... stacy regarde moi qu'est-ce qui a ?
Elle leva les yeux et me regarda
- ça va faire un mois que ma mère est à l'hôpital au Texas a cause d'un cancer et j'ai du m'occuper de ma sœur pendant un mois sans aucune nouvelle d'elle sans savoir si elle était vivante.
- je... je suis désolé j'aurais du me taire.
- c'est pas grave... j'avais besoin dans parler
- je pense que tu devrais aller te reposer.
- oui je pense que c'est une bonne idée
- tu veux que je vienne avec toi?
- non tu vas raté de l'école
- C'est pas grave l'école est le dernier de mes souci alors laisse moi te raccompagner
- d'accord
Puis je serra dans mes bras et cette proximité me fesai un drôle défet mais je ni portais pas attention. Sur la route nos mains ce frôlaire et puis comme si c'était naturel je pris sa main dans la mienne et elle ne fi aucun mouvement de recul ce qui me fi sourire. Après trente minutes de marche nous arrivions devant une maison qui semblait être la sienne.