Cela fait maintenant quasiment vingt-quatre heures qu'on remontait du cinéma.
Cela va bientôt faire vingt-quatre heures que je te prenais dans mes bras.
Cela fait tellement longtemps que je n'avais pas été heureux, que je n'avais pas retrouvé ces sensations.
Un peu comme un rêve réel qui m'oblige à penser à toutes ces tentations.Elle m'a dit, hier, de ne pas me faire de film,
Mais comment ne pas succomber à son charme ailé,
Qui m'emporte sous ce ciel étoilé.
Je sais... je sais que je vais souffrir,
Et pourtant j'accepte mon avenir.
J'aimerais juste profiter du présent avant de devoir me retrouver dans cet espace néant,
T'observant, t'éloignant sans que je ne puisse rien faire.A défaut de le cacher, ma tête et mon coeur reste clairs
Je n'arrive pas à me cacher,
Ni même à dissimuler ma personnalité.La vie sera toujours dure,
Toujours injuste.
C'est si simple de penser,
Mais si difficile de se lancer.Je t'en supplie, j'ai déjà utilisé cette expression, mais elle représente tellement pour moi. Rejoins-moi sur le ponton de mon bateau, navigue avec moi dans les eaux troubles, les courants violents, et les marées scintillantes. Je veux te sentir près de moi et j'aimerais être présent pour toi.
T'offrir tous les rires possibles, les bonheurs qui vont avec et te faire apprécier la vie comme tu le mérites.Tu es agaçante, fatiguante, énervante et bien d'autres choses pénibles, mais qu'est-ce que je peux être accro à toi, à chercher la faille pour te faire craquer.
En imaginant qu'on y arrive, alors j'essaierai de te combler et de ne pas faire la même erreur.
La quête est longue, mais pour toi, je l'accepte.
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Sans titre
RandomRien à foutre. J'écris ce que je veux. si tu lis ça, c'est ma décision.