CHAP 4 : PREMIÈRE NUIT

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                        PREMIÈRE NUIT

Précédemment dans De l’amour au jeu...

     Il commençait à ce faire vraiment tard, alors nous avons décidé de passer la nuit sur ce bateau. Notre artiste féminine avait déjà lever l’ancre. Mais pour nous, la soirée ne faisait que commencer.

         Nous étions allongés là sur le quai du bateau, depuis un bon moment déjà. Faces contre ciel,  nous contemplions ce beau paysage, ce vaste étendu de terrain étoilé. Le thème de la nuit était d’un bleu des plus sombre, mais l’on pouvait voir comme à un clair de lune. Les lumières du bateau ce reflétait sur les eaux de la mer tel un miroir en mouvement. Le vent frappait si fort qu’il était impossible de laisser couler une goutte de sueur. Les vagues n’étaient ni agitées, ni calme, elles étaient tout simplement (…)normal, le genre à te faire passée une sensation agréable dans le ventre. On pouvait voir le bord de la mer et les couleurs vives de la villes au loin. Cela nous faisait clairement savoir qu’on était loin de tous et de tout bruit, on était seul.
          Le silence était à son comble, on ne parlait plus, j’avais l’impression d’avoir déjà abordé tout sorte de sujet avec elle. Que pourrai-je bien dire de plus?! Je manquais d’idée. J’avais si peur de passer à côté de cette opportunité que j’oubliais presque de réfléchir. Heureusement, j’avais une compagnie des plus observatrices. Elle avait remarqué ma crispation et sentait que je stressais à ses côtés. Elle se mit assise, puis prit cette bouteille de Mon Plaisir qui était là à côté d’elle, bu une gorgée à même la bouteille, puis une deuxième, puis une troisième. C’était une manière pour elle de se relâcher. Je la regardais sans dire un mot. Elle déposa la bouteille à sa place initiale, et me regardait fixement dans les yeux. L’on pouvait lire dans ce regard cette nouvelle personnalité qu’elle fit venir en elle. Une fille sans peur, sans insouciance, sûre d’elle, sournoise, capable de tout. Et j’aimais déjà ce personnage que j’allais découvrir. Sans tarder, elle avança près de moi.
        Je voyais ce jolie visage descendre vers le mien. Alors pour pas agir comme un idiot je la laissais faire sans rien dire. Sa bouche se rapprochait de plus en plus de la mienne et je ne m’en plaignais pas. Au  contraire, cette scène je l’avais imaginé à plusieurs reprises dans ma tête déjà, alors maintenant que cela se réalisait en vrai!
         Elle s’arrêta à peine quelques centimètres de mon visage et me dit:
    - « embrasse moi  »
         Chose qu’elle ne répéta pas, car à peine elle l’avait dit et déjà je m’étais lancé  sur ce chemin salivant. Mon membre virile se faisait savoir à vu d’œil, ce n’était pourtant qu’un simple baiser mais mon cerveau imaginait bien plus. Honteux de l’apparition soudain de ce serpent dans mon pantalon, je mis la main dans ma poche, et depuis cette poche je l’attrapais discrètement pour pas qu’elle se fasse remarquer. Mais la demoiselle fit un geste inattendu. Elle m’attrapa le bras, sortit la main de ma poche et à ma grande surprise, c’est sa petite main qui passa par dessus le pantalon. Cette action m’étonna car ce geste n’est connu à l’international que par des hommes, et elle le déjoua si facilement. Elle pouvait sentir ce troisième pied qui gonflait comme du pop-corn. Elle se redressa, sourit et me demanda d’enlever mon pantalon et mon sous-vêtement. Elle n’ajouta plus rien du tout. Toujours sans rien dire, j’exécutais, et très rapidement.
         Elle se mit debout contre moi, enleva tendrement sa robe. Allongé depuis le sol, j’étais éblouie de voir enfin ce beau corps sans vêtements. Elle avait des formes si belles et si sauvage. Et les sous-vêtements qu’elle avait mis ce soir là, lui faisait ressortir une silhouette des plus délicieuses. Puis c’était au tour de ce soutien-gorge et ce string aux couleurs noir de dégager de sur son corps. Elle toucha mon membre avec son pied , façon de tâter le terrain qu’elle allait s’aventurer. Elle s’assit sur moi , m’attrapait par la chemise et me redressa. Elle me déboutonna la chemise tout en m’embrassant. Dès que je faisais montre de la toucher, elle m’enlevait les mains, façon de me dire «Laisse toi faire ». Et je j’avoue que c’était excitant de lui laisser la main.
          Chemise retirée, j’avais le torse nu, ce qu’il l’excitait plus, car elle aimait blottir son petit corps sur ma grande poitrine. Elle m’embrassait tellement qu’à des moments nos dents se cognaient. Les cheveux de son tissage qui, avec le vent se baladait de partout et de tant à autres venait circuler avec ma langue dans sa bouche. Je me délectais de chaque instant, c’était vrai, c’était nous. Je léchais ses seins ronds qui étaient encore à midi pile. Je suçais son coup qui était imbibé de parfum qu’elle avait méticuleusement mis pour l’occasion. Elle était impatiente et moi aussi. Les choses se faisaient très rapidement. Elle souleva tout doucement son postérieur, attrapa mon membre, et là je savais qu’elle voulait passer aux choses sérieuses. Elle essaya de le faire rentrer, mais il ne fut pas des plus simples à faire. Sans broncher, elle utilisa un lubrifiant des plus anciens et naturel. Elle prit le temps de passer un coup de salive délicatement sur la longueur de sa paume avant de la faire passer sur mon membre. La seconde fois était la bonne,« ah quel plaisir!». Je sentais le contact avec cette partie mouillée et chaude de son corps. Ce piston huilé qui rebondissait sur moi. Elle me faisait rentrer en elle comme du couteau chaud dans du beurre.  On ne parlait plus, on pouvait juste entendre nos gémissements qui étaient comme une chanson. Je l’attrapais par la taille comme une ceinture. Ont étaient tout nu, sur ce bateau, avec cette fraîcheur, avec ce thème sombre. À ce moment, je voulais être à la place de mon membre juste pour pouvoir voir cette vie en rose et goûter à cette chaleur intense. Les choses accélèrent et je ne tiens plus. Elle passe sa main autour de mon coup, m’embrasse puis me lèche l’oreille en me disant qu’elle aime. C’est trop pour moi, il ne m’en faut pas plus de 7min avant de gicler. Je reste crispé un moment, puis épuisé je m’assoupis. Elle prit la couette sur laquelle on était assis et nous recouvra avec. Elle me fit une bise à la joue, juste pour me faire savoir qu’elle attendait elle aussi ce moment depuis longtemps et qu’enfin elle s’était vu le réaliser. Elle rigola et s’allongea sur mon torse. On passa la nuit là, sur ce bateau, comme ça.
           Ce fut une expérience inoubliable pour moi. Certains s’attendent à passé des nuits de Novelas avec leurs premiers compagnon, qu’ils oublient d’être eux même. On imagine des scènes que l’on veut reproduire mais , c’est ce qui gâche souvent tout le plaisir, tout le suspense, ce qui ne fait pas découvrir en vrai ta ou ton partenaire. Cette nuit n’était pas des plus longue ni des plus extraordinaires mais c’était notre nuit à nous, notre Première nuit...
                            

        

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⏰ Dernière mise à jour : Oct 31, 2021 ⏰

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