27.07.21

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Au bout de la nuit quand l'aube arrive sans bruit je suis mes pensées et relève mes soupçons, 


Dans l'obscurité du puit je guette la sortie,


Dans la lueur de l'inconnu, je recherche l'ami,


À qui puis l'être tel qu'un ennemi, 


Deux visages,


Deux personnages,


À l'heure du jour, 


Où la bonté s'y trouve,


Pourtant dans la nuit l'ennemi surgit,


Les années passent tant que je m'en lasse, 


Des amitiés s'effacent, 


Au coeur de l'amour,

Celui-ci ne cesse de battre, 


Tant bien que mal,

Quand bien même le jeu n'en vaille plus la même chandelle, 


Qu'est-ce mon souhait,

D'avoir qu'un beau pétale ou la défloraison de celui-ci,

Mais où est la possibilité de démenti dans celle dite impossible,

Les sentiments dont fous dans la puissance où ils deviennent flous, 


Font-ils perdre la tête, 


À qui veut bien l'admettre,

Que la folie ne cesse sans que le bruit s'arrête, 


Lutte sans cesse, 


Qu'avec soi-même,

Parfois le mental s'empare d'une décision à part, 


Que le coeur en oublie l'heure, 


Au moment venu, 


Il est trop tard, 


Tu as déjà perdu.

La lueur de tes yeuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant