Mon petit plaisir, c'est les sons. Oui, des sons aussi érotiques que les petits cris ou gémissements lâchés avec retenu d'un homme viril succombant à un plaisir, ou une douleur, prostatique qui lui était jusqu'alors méconnu, voire non désiré. J'ai une préférence pour les hommes avec des préjugés solides sur la virilité. Leur 'plaisir coupable' se traduit souvent par de grands efforts pour rester le plus silencieux possible, ce qui rend le défi d'autant plus intéressant. Ils font de leur mieux, parfois en mordant quelque chose ou en retenant leur respiration, mais le reste de leurs gémissements étouffés se mêlent bien souvent avec quelques larmes dans leurs regards pleins de supplications. C'est de cette image provocatrice dont je n'arrive pas à me défaire, car oui, tout ce qu'ils font, dès lors, relèvent de la provocation, en une forme d'invitation inconsciente ou timide. Cette version des faits peut paraître opportune mais c'est celle que je garde.
Lorsque que j'observe une potentielle victime, mes habitudes m'amènent à imaginer et prévoir tous les sévices que j'aimerais les faire subir. Avec le temps, je m'étais rendu compte qu'il aurait été dans la norme de sentir une certaine culpabilité d'imaginer de pauvres inconnus réaliser mes fantasmes sexuels les plus indécentes, mais je n'avais aucun scrupule. En y réfléchissant, j'éprouve sans doute une sorte d'affection pour mes partenaires, mais mon bien-être reste toujours prioritaire. Leur volonté n'avait jamais primé sur mes désirs et ils finissaient de toutes les façons par aimer mes méthodes.Depuis quelques semaines, je remarque cet homme brun d'âge moyen, bien bâti et avec un air fier. Sa posture et son apparence soigné montre chez lui une certaine assurance et une aura de 'monsieur hard to get'. Mes fantasmes s'éparpillent tous les jours lorsque je l'observe par la fenêtre de mon bureau. Je l'imagine mon prisonnier, séquestré dans ma cachette bien équipée. Il fait presque nuit et ma victime commence à se réveiller. Dans quelques minutes, je vais utiliser son cul comme ma maison, en y faisant des va-et-vient comme bon me semble. Ces fesses qui protègent son anus pourraient se lier d'amitié à mes mains, tout comme devenir leurs martyrs si elles ne jurent qu'en la désobéissance. Je fais sourire le trou de son derrière en lui tirant les deux joues, et le sens trembler, d'impatience ou de peur. Son trou est nourri par mon lait visqueux, puis lavé avec une poire, avant d'être imprégné plus profondément encore. Lui, me souffle entre quelques gémissements des demandes de répit, cherche parfois à ne pas se laisser faire, à s'échapper d'ici, en étant peut-être prêt à se battre. Ses refus malhonnêtes ne trouvent pas d'oreilles, mais son pénis confus trouve un salvateur. Il verra bien après quelques semblants d'amour que sa queue tremblante sera bien plus sensible à mes mains qu'à ses mots.
« Si ta gorge a assez de place pour des chouinements et des injures elle en a assez pour mon sperme. »
Je ne veux pas qu'on débatte mais plutôt le voir se débattre, que son cœur ne sache plus comment battre, et que dans nos ébats son cul soit aussi mouillé qu'une chatte. Je veux entendre des chaînes de menottes le faire mon captif, mes hanches lui donner la fessé qu'il commences à désirer de façon inavouée, entendre son gland se faire langoureusement harceler par les vibrations d'un jouet, et ses souffles résonnant avec une imprévisibilité semblable au temps que prendra ce jeu affectif. Je veux sentir mes mains froides glisser sur sa poitrine, mes doigts se serrer sur ses mamelons, les convulsions de son anus me prouver ses désirs, et ce coquelicot humide et insatiable me démentir sa placidité.
« Comme toujours ton cul en dit long sur tes désirs. »
J'ai envi de le ligoter de sorte à le faire marcher à quatre pattes, l'aveugler puis le museler, lui faire porter autour du cou un petit panier plein de capote. Il deviendra le héros d'un petit jeu d'orgie, dans lequel il distribuera tout le contenu du panier, en rampant et tâtonnant, les fesses à l'air et accompagnées d'un plug anal. Je veux que, pendant la présentation, tout son corps soit préparé à réagir de manière appropriée aux assauts des spectateurs. Il faudra pour cela que j'entraîne ses tétons timides à sortir se présenter devant les invités, que je restreigne ce pénis de vouloir distribuer ma propriété comme bon lui semble, et que j'apprenne à cette prostate inéduquée à quel plaisir il pourrait goûter s'il suivait bien toutes mes directives. Pendant qu'il frissonnera sous les vibrations et que sa défiance s'affaiblira sous un plaisir insupportable, les enchères commenceront pour savoir qui sera le premier à pouvoir s'amuser avec cette chatte chaude et humide qui lui servait jusque là de sac à merde. Il pourra jouer les vilains toutous s'il le souhaites, mais dans ce cas il n'aura qu'à nettoyer ses propre fesses.
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In These Words : ischémie freja
FanfictionCette histoire n'a pas de plus grande ambition que de divertir ceux qui connaissent, ou pas d'ailleurs, le manga "In These Words". Lisez-la avec le simple désir de vous détendre un peu, ni plus ni moins ! Attention, cette histoire contient des scène...