[ One shot Tsukasa / Amane ] - Lune de sang

lune de sang

Info avant de commencer :

Tous ce que vous lisez est ce que pense et décrit Amane. J'ai donc essayé le plus possible de refléter sa douleur intérieur et après sa folie. Le texte est très péjoratif !

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Pov d'Amane :

J'attendais sur mon lit, recouvert par ma couverture étoile. Les genoux près de mon visage, je les enroulais avec mes bras plein de bandages. Je savais que je devais retiré mon uniforme mais je n'avais pas la motivation. J'avais froid. Il fait froid dans cette maison, alors qu'on est en juillet. Peut-être que je suis juste en peu frileux... J'en tremblais. Etais-ce vraiment du à la température, je l'ignore.

J'étais encore rentré seul...

Je n'ai plus d'amis. Peut-être qu'ils n'était pas vraiment mes amis... Je ne sais pas...

J'aurais du attendre Tsukasa pour rentrer... Mais je ne savais pas où es-ce qu'il traînait encore... Je suis partit sans lui.

Il ne va pas être content ce soir...

Ça ne change pas le problème.

Je me sens seul...

J'ai l'impression de ne pas exister...

J'ai l'impression que je ne devrais pas exister...

Tu ne devrais pas exister. Tu ne devrais pas exister. Tu ne devrais pas exister. Tu ne devrais pas exister. Tu ne devrais pas exister. Tu ne devrais pas exister. Tu ne devrais pas exister. Tu ne devrais pas exister...

J'ai mis mes mains sur mes oreilles pour ne pas entendre cette pensée.

Elle est méchante.

Elle est comme une autre personne en moi.

Elle est méchant

Elle veut que je me fasse du mal et aux autres.

J'en ai peur.

Peut-être que c'est mieux que personne ne me parle. Comme ça je ne blesse personne.

J'entendais le grincement de la porte d'entrée.

C'est sûrement Tsukasa. Papa et Maman rentrent tard à cause du travail.

- Amane ~

J'aurais du bouger mais j'y arrive pas. Je suis paralysé. Je devrais allé lui sauter dans les bras tout en saluant. Mais il est méchant. Non, il ne l'est pas vraiment. Il a juste de case en moins et est un peu violent. Même si j'ai l'impression que ça s'empire de jour en jour. 

La porte de ma chambre s'ouvre.

- Amane tu te caches ?

Un blanc. Ma respiration s'est coupé. J'ai envie de fuir...

- Elle est nul ta cachette.

Ses pas se rapprochaient, je tremplais encore plus. Il a retiré la couette et il m'a regardé, un regard contrarié au visage.