Recueil Os Nalu

Code Blanc

Bonjour ! C'est ma première fan fiction, soyons indulgent svp, s'il reste des fautes vous pouvez me les indiquer et commentez ! J'ai fais une sad end et une happy end pour contenter tout le monde, à vous de choisir !

Ce matin là, le soleil brillait, les oiseaux piaillaient, il faisait bon, bref, une journée parfaite. Devant la polyvalente de Fairy Tail, les jeunes se rassemblaient, attendant leur groupe d'amis avant d'entrer dans le bâtiment. Un en particulier semblait s'attarder.

Il était composé d'une rouge, de deux bleues, d'un noir, de deux autres bleus et d'un rose qui discutaient tranquillement en cercle. Tout à coup, le rosé fit un pas en avant, tentant de garder son équilibre face à l'apparition d'un poids inattendu sur son dos. En tournant la tête, il aperçut des mèches d'un blond or, et avant même d'avoir vu le visage de la personne, il sut que c'était elle. Son rayon de soleil, son étoile à lui, Natsu Dragneel. Elle profita du fait qu'il tourne la tête vers elle pour l'embrasser. Elle était à lui, il était à elle, Lucy Heartfilia. Ils se l'étaient promis.

Après avoir tous salué la retardataire, ils rentrèrent dans le bâtiment, chacun tenant la main de son âme sœur. Après un dernier baiser, les couples se séparèrent et se divisèrent en quatre groupes; notre blonde se dirigea vers son cours de littérature avec sa meilleure amie, la petite bleue Lévy, son copain Natsu et son meilleur ami Grey partir en cours de philosophie, Erza la rouge et Jellal (le seul couple par encore officiel) se dirigea vers la classe d'anglais alors que les deux amis restant, la belle bleue Juvia et Gajeel partaient en mathématiques.

Les cours avaient déjà commencé depuis une bonne trentaine de minutes lorsque tout bascula.

Un cri suivi d'un bruit sourd retentit dans le couloir. Lucy jeta un regard interrogateur à Lévy, qui lui répondit par un rempli d'inquiétude. Le professeur fit signe à ses élèves de se calmer et sortit vérifier si tout allait bien. C'est les mains en l'air et à reculons que M. Lily entra de nouveau dans la classe, suivi de deux hommes effrayants et armés jusqu'aux dents. Lucy, prise de terreur, tira Lévy par le bras et s'accroupit, se cachant derrière la table. D'une voix forte, un des deux hommes demanda à tous les garçons de sortir. Pris de panique, ils obéirent tous, sortant un à un les mains en l'air, laissant les jeunes filles prises de panique dans la pièce.

Soudain, on put entendre le son étouffé d'une arme à feu de gros calibre vidant son chargeur de ses projectiles mortels venant de la classe de derrière. Les deux hommes sourirent cruellement, comme pour leur signifier « C'est à votre tour ! » tout en se mettant en position de tir...

Lévy sortit la tête de la table pour voir ce qu'il se passait...

Et ce fut un carnage.

Toutes criaient avant de s'effondrer sur leur table ou au sol. Puis, le silence.

Les deux hommes sortirent en courant. Lucy put alors relâcher son souffle et les sanglots qui l'accompagnaient alors qu'elle prenait dans ses bras le corps sans vie de celle qui avait été sa meilleure amie depuis près de 15 ans.

Prise d'une soudaine impulsion, elle sécha ses larmes de sa manche avant de doucement reposer la tête de Lévy au sol, lui fermant les yeux. Elle se leva et sortit de la pièce. Ses jambes tremblaient, elle avait du mal à tenir debout. Mais il fallait qu'elle tienne, il fallait qu'elle le trouve.

À l'intercomme, la voix préenregistrée du directeur M.Drayer passait en boucle « Code Blanc, évacuez immédiatement si vous le pouvez ou enfermez-vous. Ceci n'est pas un exercice. Présence d'hommes armés dans le bâtiment. Code Blanc... »         

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Elle courait dans les couloirs à perdre haleine, se rapprochant de plus en plus de son but. Et soudain, au tournant d'un couloir, elle le vit. Natsu, son dragon aux cheveux roses, son seul et unique amour. Il courrait vers elle, il souriait, elle était là, sa lumière, son ange gardien était toujours en vie. Elle lui sourit, mais son sourire se figea en voyant le visage de Natsu se décomposer alors que leurs mains se touchaient presque.