Chapitre 4

7 0 0
                                    

Mon point de vu

Le repas terminé, je décide de partir au petit coin.

A peine ai-je le temps d'ouvrir le robinet qu'une des portes s'ouvrît.

Tyron - [air narquois] Salut, je t'ai manqué ? [évitant son regard] Pourquoi tu ne me répond pas ? Ça fait longtemps qu'on s'est pas vu toi et moi. Ça doit faire combien de temps maintenant ? 2 mois je dirais.

Je m'apprêtais à sorti quand il me barra la route avec son bras, main contre le mur.

Tyron - [air tristounet] Attend, pourquoi tu pars ? J'aime bien être avec toi, en ta compagnie. Il me semble que tu ne t'ai toujours pas fais d'amis à se que je vois. Tu a peur d'eux ou bien d'être trahie ?

Moi - [le regardant droit dans les yeux, sérieuse] qu'est c'que tu m'veux ?

Tyron - [surpris/content] oh madame n'a pas perdu sa langue. je pensais que tu ne savais plus l'utiliser vu que tu ne parle quasiment jamais. *rire* [se rapprochant de moi] Qu'est ce que tu me fais de la peine à te voir, toujours sur te garde.

Moi - [le repoussant] dégage ! Arrête de joué avec moi je sais très bien que tu me hais par dessus tout et que tout ce qui t'importe c'est mon pouvoirs et ma mort !

A ces mots je sortie.
Marcha direction la classe.

<><><><><><><><><><><><><><><><><>

J'étais en train de rentrer en classe que je me suis sentie projeté sur les casiers à côté de moi.

C'était lui ! C'était Tyron ! Je savais bien qu'un jour ou l'autre il reviendrai pour me provoquer encore et encore comme il avait l'habitude de le faire.

Ma colère monta, tellement de colère que je ne pouvais plus me contrôler.

Moi - [bouillante de colère] Où te espèce d'ordure ! J'aurai ta peau tu m'entends !

Je parti t'elle méconnaissable.

Ils avaient du sûrement me prendre pour une folle mais cela ne m'importai peu. Ce que je voulais c'était sa tête !

Je me dirigeais vers les WC.
Si il savait montré toute à l'heure là bas, il devait sûrement être encore là.

Arrivé, j'ouvra la porte d'une extrême prudence. il faisait sombre.

Il me pris le bras et m'entraîna de violence dans la pièce.

Tyron - [curieux] Pourquoi m'a tu insulté ? Je ne t'ai rien fais et tu sais très bien que je ne te ferrais rien.

Moi - [en colère, cris] Tu mens ! Je sais très bien que c'était toi à propos des casiers !
[haussant la voix] Tu me déteste de tout ton âme !

Tyron - [surpris] Comment pourrais je te détesté ?
[s'avança vers moi, d'une voix douce] Ma chérie, je t'aime !

Moi - [écoeuré] Tyron, arrête tu va trop long là..

Tyron - [se fâcha] Arrêter quoi ? Tu vas pas me dire que nous deux y a plus rien..

Moi - [haussant le ton] Mais c'est du passé..

Tyron - [utilisa sa télékinésie avec sa main sur moi, en ébullition] Il n'y a pas de passé, le passé n'existe pas et n'existera jamais ! Tu m'entends ?

Moi - [essoufflé] arrête ton cinéma ! [sérieuse] Qu'est-ce que tu peux être pathétique, tu me fais de la peine, dire que j'ai aimé un monstre comme toi. Nan mais regarde toi, tu te vu ? La personne qui est en face de moi ne ressemble plus à la personne que j'ai connu il y a 1 ans.

A ces mots, il me lâcha dépourvu.

Je sorti si vite que je ne pas remarqué que quelqu'un était derrière la porte que je le percuta.

<><><><><><><><><><><><><><><><><>

Point de vu du garçon

J'étais devant la porte quand je l'ai vu être projeté sur les casiers.

J'en revenais pas de ce qui venait de ce passer.

J'ai donc décider de la suivre en douce par curiosité. Je ne savais absolument pas où elle allait mais je me dis qu'il avait toujours une arrivée à chaque départ. A l'intersection qui suivait, elle avait disparu !
Je me suis arrêté et contemplé les environs et ... il y avait bien une porte entre-ouverte, pas n'importe quelle porte mais bien celle des WC-fille ! Je m'avança pas à pas et regarda du coin de l'œil par la porte. Personne ne me verrai de tout façon car à cette heure-ci tous le monde étaient en cours.

Il faisait sombre. Je voyais a peine ce qu'il ce passé.
Les seuls bruits que je pouvais entendre étaient des cris de colère et des mots tels que « casiers », « nous deux », « passé » et « aimé un montre ».

De quoi parlé t'elle et avec qui ?

Je ne l'ai pas vu sortie qu'elle me percuta. Corps contre corps. Torse contre torse.

A ce moment là, je ressenti ce que j'avais toujours ressenti.
L'aurais-je trouvé ?

A moitié MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant