Épilogue:

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Couché nu dans mon lit, une main baladeuse me réveille doucement. Cette main caresse le long de mon dos, me faisant frémir et sourire. Doucement, elle glisse sur mes fesses pour les caressaient tendrement.

-          Qu’est-ce que tu fais ?

Aucune réponse ne me parvient, mais un doigt glisse entre mes deux fesses et presse légèrement mon entrée :

-          Lou, soufflais je

Toujours aucune réponse. Mais sa main a disparu. Vite remplacé par son corps pressé sur le mien. Il embrasse ma nuque et rentre en moi. Je gémis directement, ne ressentant plus aucune douleur. Nos cris sont discrets, mais l’extase est là. Ses coups de reins se font de plus en plus lent, et il me souffle a l’oreille :

-          Ça ne te rappelle rien ?

-          Plus vite Lou, implorais je

Il sourit contre ma nuque, et accélère ses coups de rein. On y est presque, je le sens. Nos souffles deviennent de plus en plus saccader et je peine à contrôler mes gémissements. Alors que l’orgasme allait me consumer, des coups sur la porte se font entendre. Louis arrête ses mouvements et :

-          Papa ! Papou ! on va être en retard ! retentit une voix derrière la porte

-          Une minute, répond Louis en se retenant de bouger et de gémir

-          On peut regarder la télé ?

-          Oui, dis-je en gémissant un peu

Les pas s’éloignent de la porte, et Louis rigole contre mon dos. Je grogne légèrement et lui donne un coup de bassin pour qu’il continue. Il ne se fait pas prier et reprends ses mouvements. L’orgasme nous consume quelques secondes après, et j’essaye d’étouffer mes gémissements dans l’oreiller tandis que Louis mord ma nuque pour se taire. Il se retire délicatement de moi, et je roule sur le côté :

-          Bonjour, lui dis-je en l’embrassant

-          Bonjour homme de ma vie

-          Tu es tellement niais le matin

-          La prochaine fois je te prendrais brusquement alors

-          Ce n’était pas un reproche bébé.

-          Je ne l’aurais jamais fait, tu le sais très bien.

-          Je le sais. Mais on a eu chaud. Heureusement qu’il est trop petit pour ouvrir les portes.

-          Ça faisait longtemps. Je commençais a être en manque.

-          On pourrait toujours recommencer sous la douche, propose ai-je de façon provocatrice

-          PAPA ! PAPOU ! Jasper pleure ! nous interromps une nouvelle voix

-          Ça sera pour une autre fois, soupire ai-je en l’embrassant

-          La faute à qui, grommelle Louis

-          Comment ça ? demande ai-je en remettant un caleçon

-          Tu veux une tribu d’enfants !

Remember me for centuriesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant