Quand le destin te tient,
Tu ne peux plus t'échapper.
Et puis il t'étreint
De toute sa fatalité.Il ne te lâche pas.
Il t'entraîne vers la folie.
Et quand il ne veut plus de toi,
Il détruit ta vie.Ce foutu destin,
Que j'ai très bien connu,
Me donnait souvent la main,
Avant qu'il ne me tue.Ce destin qui ne me laissait jamais partir.
Qui chaque fois, me mentait en un sourire.
Ce destin qui me faisait souffrir.
C'est cet homme que j'ai aimé à en mourir.