Petit Rappel

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#LA_FEMME_MUSULMANE_TANT_CONVOITÉE

La femme musulmane tant convoitée
Celui qui observe la situation de la femme musulmane telle qu’elle est exposée dans les enseignements de l’Islâm, en déduira une chose énorme quant au fait que l’Islâm préserve la femme des griffes de l’immoralité et la libère du marais de la perversion.

En effet, sous la protection de l’Islâm, elle mène une vie de pureté, de chasteté, de protection, de pudeur, d’invulnérabilité, de noblesse, grâce à une éducation élevée, une moralité remarquable, et une grande pudeur, loin des railleries des loups et des pervers.

Celui qui réfléchit sur la situation de la femme de l’époque antéislamique, et l’évolution organisée par l’apparition de l’Islâm, ne peut être que frappé par cette réalité.

[…]

Certes,

« la femme [d’avant l’Islâm] s’achetait et se vendait comme les bestiaux et les provisions ; elle était contrainte au mariage et à la prostitution ; on héritait d’elle mais elle n’héritait pas ; elle était dirigée et elle ne dirigeait pas.

La plupart de ceux qui la détenaient lui interdisaient de disposer de ses biens sans la permission de l’homme dont elle dépendait.

Le mari avait le droit de disposer de sa richesse sans son accord.

Dans certains pays, les gens avaient divergé sur le fait de savoir si [la femme] était un être humain ayant une âme et un esprit perpétuel comme l’homme ou non ?

Si elle devait apprendre la religion, si ses actes d’adoration pouvaient être acceptés ?

Pouvait-elle aller ou non au Paradis ou dans l’au-delà ?

Une assemblée tenue à Rome décida que la femme était un animal impur n’ayant ni esprit et ni éternité ; mais qu’elle devait pratiquer les actes d’adoration et travailler, museler sa bouche comme on le fait avec le chameau et le chien mordant pour l’empêcher de rire et de parler, parce qu’elle est l’instrument du diable.

La plupart des législations permettaient au père de vendre sa fille.

Certains Arabes considéraient que le père avait le droit de tuer sa fille, pire que cela, ils voyaient qu’il avait également le droit de l’ensevelir vivante.

Parmi eux, il y en avait qui considéraient qu’il n’y avait pas lieu d’appliquer la loi du talion à l’endroit de l’homme qui tuait une femme, ni de prix de sang à verser. » [1]

Et d’autres choses que celles-là pourraient être citées comme injustice et persécution que la femme pouvait subir et endurer.

De nos jours encore, la femme – vivant en dehors de l’ombre [protectrice] de l’islâm – souffre toujours d’une servitude barbare, à tel point que certaines femmes non musulmanes en viennent à vouloir bénéficier du même traitement que la femme musulmane.

Voici ce que disait la célèbre journaliste Maxe Atrode [2] :

« Il vaut mieux que nos filles travaillent dans les maisons comme domestiques plutôt qu’à l’usine où il n’est pas rare d’attraper la tuberculose qui emporte la beauté de sa vie à jamais.

Si seulement nos pays pouvaient être comme les pays musulmans !

Y règnent la pudeur, la chasteté et la pureté ; la domestique et l’esclave jouissent d’une vie confortable et sont traitées comme les enfants de la maison, il n’y a pas d’attentat à la pudeur.

Certes, c’est un déshonneur pour l’Angleterre de faire de nos filles des modèles de perversion à cause de la généralisation de la mixité.

L'HABIT ISLAMIQUE DE LA FEMMEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant