☆Chapitre 4☆

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¤Any¤

....: NON ARRÊTE.

....: RESTE TRANQUILLE SALE PUTE!

Moi : Non s'il-vous-plaît vous pouvez pas me faire ça. Dis-je en pleurent.

Ils ignorent ce que je dis et continue leur sale boulot. C'est devenu mon quotidien depuis quelques années il commence à déchirer mes vêtements en me donnant des coups pour que je reste tranquille et un seul coup la d'entre eux me pénètre brutalement.

****

Moi : NONNN

Je me lève en sursaut avec plein de sueur sur le front le cœur qui bat la chamade. C'est après quelques minutes que je me rends compte que c'était se foutu cauchemar que je fais depuis depuis maintenant 10 ans. J'en fais presque tout le soir et c'est vraiment épuisant mais bon je me suis habitué.

Bref je me lève et part dans la salle de bain. Je prends un bain froid pour reprendre mes esprits, c'est qui n'a pas marché bien sûr. Je sors de se foutu bain qui m'a rien servi et je m'habille de vêtements de sport pour aller à la salle de sport.

Je sors finalement de la villa de mon frère et prend la direction de la salle de sport écouteur au oreilles. Je cours tout au long du chemin pour ne pas penser à se qui m'a réveillé un peu plus tôt.

***
Après des longues minutes de marche je suis finalement arrivé. Et vous savez quoi ? Je déteste ma vie. J'ai fait tout ce chemin pour qu'au final la salle de sport soit fermée. Foutu gens. Pourquoi ils ont fermé cette chose ses fils de cons. Pendant que j'étais entrain d'insultes leurs descendant, mon téléphone sonne et je vois que c'est mon frère.

Moi : Quoi ?

Léandro : Qu'est-ce que t'avais de si important pour sortir à 3h du matin ?

Moi : Quoi ? Pardon ! 3h du matin t'as dit ?

Léandro : Bah oui t'es sourde ?

Moi : Mais je pensais qu'il faisait 6h du matin. Ça explique pourquoi la salle de sport est fermée.

Léandro : T'es une conne. Et vas-y rentre je t'attends devant la porte.

Moi : Eh mais je suis pas une gamine. Je rentre quand je voudrais .

Léandro : Je plaisante même pas avec toi Any rentre toute suite ou je viens te chercher. Dit-il en criant.

Moi : Pfff arrête de crier c'est bon je rentre pauvre conn... ahhhhhh

Léandro : Any t'as eu quoi ? Dit-il en paniquent.

Pendant que j'étais entrain de parler avec lui, une voiture m'a propulsé comme si j'étais un carton. Et c'est connard qui m'a heurter il n'est même pas sorti pour m'aider. Je me lève en vitesse et prend une pierre et casser avec sa vitre et lui donner un coup de poing. Il se tient le nez je crois que je lui ai cassé le nez.

Moi : Ah ça fait un bien ouf . Dis-je en souriant de tout mes dents.

Lui : Espèce de salope tu m'as cassé le nez. Dit-il en sortant de la voiture.

Moi : Et alors c'est bien fait pour ta gueule de connard.

En une fraction de seconde je me retrouve par terre avec le visage en feu.
Trois hommes en noir sortent de la voiture en se dirigeant vers moi.
L'autre bâtard qui m'a donné un coup de poing leurs dit quelque chose que j'ai du mal à entendre. Puis les trois hommes viennent me prendre, mais je me laisse pas faire.

Moi : Eh Lâchez-moi bande des chiens. Dis-je en donne un coup dans les couilles d'un p*** qui me tenait les jambes.

Le p*** se plié de douleur en se tenant les couilles, bien fait pour tes couilles fils de p***.

Lui : Tenait là bien cette salope que je lui refais son portrait. Dit-il en se rapprochant pour me mettre un coup dans le ventre.

C'est salopard à de la force j'avoue en me tordant de douleur. Il ne s'arrête pas là non il continue à me donner des coups sur tout le corps sans pèse ses coups. En dirait il frappe un bonhomme. À un moment il me met un coup tellement fort que je crache mes poumons. Je me retiens de crier non je veux pas leurs donner ce plaisir de me voir crier. Puis il s'arrête.

Moi : Bah allez vous êtes fatigué ? Dis-je en souriant.

Il me regard avec haine pour l'avoir provoquer et me met un coup de poing. Putains il m'a cassé la gueule ce bâtard. Tellement il m'a bien frappe j'ai du mal à me tenir debout et à voir et pour couronne le tout je crache du sang beaucoup de sang.

Moi : Frappe-moi autant que tu veux, mais prier Dieu pour que je m'échappe pas de tes hommes, parce que si c'est le cas tu pourras plus respirer. Dis-je en le regardant de haut en bas.

Sans attendre il me prend par le cou et me frappe contre le sol tellement fort que sur le coup je perds connaissance.









J'espère que cette partie vous a plu et désolé pour les fautes d'orthographe.
Laissez moi vos avis en commentaire et n'oubliez pas la petite étoile. MERCI.

Et Si L'enfer Était Sur TerreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant