De manière si iconique,
J'entends les vibrations tel une cascade.
Cela valse dans mon cœur,
Tout comme la plus belle des mélodie,
Sur la quelle tu m'a invité bien trop tôt.
Mais désormais,
Je regrette tel une ambivalence,
Maintenant, cette ballade n'est plus mienne.
Redonnez-moi Octobre.
Je vais te couper ces pétales dorés qui commencent à fleurir dans mes poumons.
Pour courir, courir, courir, et sauter dans vos bras,
Accompagné de mon sourire brodé sur les extrémités.
Cette valse est mienne.
Vous êtes si doux.
Ces mains, si délicates, réchauffent mon dos,
Lui, pressé comme une mandarine.
Et c'est ainsi,
Que les lucioles voleront quand je ne retiendrai que les larmes de tes cils contre moi.
Sans corps, ni amant.
Je ne reviendrai plus en Octobre.
Il n'existe plus.
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Rien que des mots derrière une façade
PoetryIl n'y a pas de personnage dans cette histoire. Seulement un conte ne pouvant être démembré, car il a une confiance opposant la réalité. (Ceci est un recueil, que je remplirai, parfois)