Hégémonie

prologue

Assis sur une chaise inconfortable devant une table glaciale, il attendait depuis déjà bien trop longtemps que la sonnerie retentisse. La salle était pleine, des murmures inaudibles et des vissages tournés vers lui. Il ne ressent rien.

Dans son esprit, rien ne bougeait, tout paraissait froid immobile et sombre. Le temps était suspendu se demandant depuis combien de temps était-il ici, dix minutes, une heure, une éternité peut-être ? 

Enfin, elle retentit laissant place à de l'agitation, des étudiants exciter à l'idée de pouvoir enfin grignoter au réfectoire. 

Ses mains délicates ramassèrent ses affaires d'un rythme lent, avant de lui aussi abandonner la salle de classe. Comme d'habitude, quelques regards étaient braqués sur lui, des fouineurs qui scrutaient les faits et gestes du brun. Rei avance, son carnet et ses poèmes raturés dans la main.

-[ ... ]« Le pauvre ce n'est forcément pas grâce à la bourse, donc il serait riche ?» 

Rei s'était installé sur une table où se trouver deux jeunes filles de sa section il respecta leurs intimidés et laissa plusieurs chaises les séparer, la viande était fade et le riz était pour lui immangeable.

- « Oui son père tiendrait un sanctuaire près d'Osaka, il va rejoindre notre section de littéraire. »

Encore une fois les étudiants étaient excités à l'idée qu'un nouvel élève soit transféré dans cet établissement, pourtant cette académie n'avait rien de bien elle était froide lugubre et pleine de rumeurs en tous genres. Mais le plus important...un regroupement d'étudiants*péter de thunes* pour Rei c'est la bourse qui a fait le travaille, enfin plutôt son ancien professeur de littérature.

M.Zhyn était un professeur de littérature au lycée, son humour lui avait couté sa réputation auprès des élèves, Rei était le fruit de ses réflexions il le trouvait différents des autres, il à très rapidement compris.

 Après avoir fini son assiette sans conviction, le jeune brun parti a la recherche d'inspiration, divagante dans ces couloirs étroits, sans faire attention son épaule gauche heurta celle d'un autre, ses livres de poésie tombèrent aux sols sous le bruit du fracas. 

- Oh je suis navré c'est de ma faute je n'ai pas vu où j'allais excuse-moi...

Il avait recueilli ses affaires avant de les tendre vers Rei, son physique était avantageux.  Ses cheveux étaient teints d'une couleur grise, marquant par la suite son regard de la même teinte était-il réal ?

EDIT :  Tout d'abord MERCI INFINIMENT ( surtout mes amis) pour m'avoir encourager ensuite je m'excuse de mon retard pour le prologue et a la taille  je savait pas trop comment commencer cette histoire mais je pense avoir fait un bon début ! bref a bientôt pour le chapitre 1 !