[Vi x Caitlyn] One Shoot : Sex time. [LEMON]

One Shoot : Sex time.

Mot de l'auteur : Hey mes poussins comment allez vous ?! 

Moi ça va à peu près, je suis malade, vive les rhinopharyngite ! u_u

Comme je suis bloquée chez moi à rien faire.. Je me suis dit, go écrire encore et encore

Celui-là est très long ! 

Je vous souhaite une bonne lecture mes poussins ! 

TOUJOURS PLUS DE VI X CAITLYN OUAIS !

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_CAITLYN ! Hurla une voix grave au loin. 

La jeune femme en question  baissa la tête accompagné d'un lourd soupire. Elle savait que cette fois elle avait merdé. Énormément merdé. Et, ce n'était pas pour rien que son chef était extrêmement remonté contre elle, à l'heure actuelle. Elle avait échoué, laissant le criminel s'échapper sans pouvoir protéger la population des dégâts qu'avait causé le fugitif. La seule chose qu'il s'était passé était que la brune fut prise dans une explosion, l'envoyant dans le décor. Elle n'avait que des blessures superficiels et de la suie recouvrait l'intégralité de son corps. Mais ça, son chef s'en fichait bien. Le criminel, étant toujours en fuite et non appréhendé, elle avait tout simplement échoué. Lamentablement. Elle qui était toujours sérieuse dans son travail et était reconnu de tous dans le milieu des pacifieurs pour son travail acharné et distinct. 

_Chef.. Commença la jeune femme en se relevant. 

_Non je ne veux rien savoir ! Tu as échoué ! 

_Mais.. C'est la première fois que je-

_Je m'en contre fiche, Caitlyn ! À cause de toi le criminel n'a pas été appréhendé et il cause la terreur dans les rues de Piltover ! Tu te rends compte ?! On passe pour quoi nous au juste ?! Des clowns ?! Cria le chef, furieux. 

La jeune femme baissa la tête, honteuse d'être rabaissée devant tout ses collègues, qui n'intervenaient pas. 

_Chef-

_Tu es relevé de tes fonctions pour aujourd'hui et le reste de la semaine. Tes collègues vont faire ce que tu n'as pas sû accomplir, aujourd'hui. Décida froidement le chef des pacifieurs, n'accordant plus aucun regard à Caitlyn avant de partir. 

La brune regarda ses collègues suivre le chef, la laissant seule avec ses doutes et ses démons. La jeune femme serra ses dents, contrariée contre elle-même. Elle arracha son insigne de pacifieuse de son uniforme et le regarda longuement avant de le compresser entre ses doigts. Le seul jour ou elle échouait, elle était mise de côté et recadrée trop durement. La vie était injuste. Elle s'était toujours battue pour obtenir ce poste dans les pacifieurs, étant l'une des seuls femmes pacifieuses de Piltover, elle devait redoubler d'efforts pour garder sa place comparer à ses collègues qui n'avait pas trop de soucis à se faire. 

Après sa crise de colère passée, Caitlyn prit la direction du poste de pacifieur de Piltover afin de se changer. Elle y laissa son uniforme et le troqua contre des collants noirs transparent, une jupe lisse noir ainsi qu'un top blanc à manche longue. Elle défit sa queue de cheval et les laissa retomber le long de son dos. Avoir une crinière noir aux reflets bleus avait bien des avantages. Elle retira ses bottes de services pour enfiler ses chaussures de ville noir, prit son sac à dos et ferma son casier à cadenas. Elle partie ensuite, n'accordant aucun regard à cet endroit pour qui elle s'était tant battue. 

N'ayant pas vraiment de hobbies qui pouvaient la divertir le temps de sa retenue, elle décida d'aller boire un verre dans un bar en début de soirée. Après avoir pris une bonne douche et soigner ses égratignures, la jeune femme avait revêtu une charmante robe noir, avec un léger décolleté qui marquait la naissance de sa poitrine. De léger collants couvraient ses longues jambes ainsi qu'une paire de talon noir vernis chaussait ses pieds. Un léger maquillage habillait son joli visage angélique, seul le mascara et le rouge à lèvre beige venait donner un peu de charme à cette femme qui n'avait pas conscience du potentiel qu'elle dégageait. Les hommes se retournaient souvent sur elle lorsqu'elle sebaladait, mais étrangement, elle, ne les regardait aucunement. Pour elle, les hommes n'était pas vraiment sa tasse de thé et elle avait grandement du mal à les comprendre, parfois. Les femmes étaient beaucoup moins compliquées et elles avaient un certain charme qui l'attirait.