Comment la guerre mas détruit

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Avant de commencer je tenais à vous dire quelque chose. Cette nouvelle est un projet pour mon lycée, c'est un devoir de ma prof de français alors svp dites moi votre avis comme ça je pourrais améliorer 🙏🏻. Que se soit orthographe, conjugaison, syntaxe ou je ne sais quoi n'hésitez pas.

Merci beaucoup d'avoir cliqué et bonne lecture

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L'horreur des tranchées, le bruit sourd des obus, les corps de camarades gisant sur le sol, l'hygiène de vit brisait tout rêve de trêve ou de paix chez les soldats. Mais l'horreur ne sarrête pas là, cest avec la peur au ventre que la population mondiale vit, L'Allemagne Nazi effraie les tous pays. Et c'est dans cet armée qu'était présent un jeune soldat, il était d'un blond très clair avec des yeux marrons qui virerait presque sur le rouge. Son caractère faisait de lui un soldat hors pair ; froid, sérieux, sportif, tous ce quil faut pour être le parfait petit soldat allemand.

Cependant comme tout bon travail il eu droit à du repos au coté de sa femme et de son fils, mais, ce n'étaient pas les personnes qu'il avait hâte de voir, il ne rêvait que dune seule chose retrouver la chaleur de l'étreinte de son homme. Oui, le soldat parfait cache une chose qui est un vice pour cette société, l'Amour, l'amour entre deux hommes.

De long cheveux noir retombe sur ses épaules, ses yeux en amande au pupille noir et son sourire à se décrocher la mâchoire le tenait en vie dans cet enfer qu'était la guerre. Ses caresses, ses baisées lui avait laissés des marques invisibles sur la peau qu'il chérissait chaque jour tous comme les souvenirs que son amant lui avait laisser avant son départ.

Une fois arrivé chez lui il embrassa femme et enfant et passa une nuit avec eux, nuit la plus longue de sa vie, en effet, à chaque fois quil fermait les yeux le visage de son amant revenait. Le lendemain il s'empressa de courir chez lui en lançant l'excuse du sport matinal à sa femme. Il arriva devant une petite maison au fond des bois, leur cocon, et ne se posa pas de question et entra dans la maisonnette.

Il cria son nom mais aucune réponse de sa part, il avança jusqu'au salon et se rendit compte de la fraicheur inhabituel de la pièce, son homme était très frileux après tout. Il marcha jusque la cheminé et vit que les anthracites étaient froids, un frisson le parcourut entièrement et son coeur se serra doucement. Il alla rapidement dans la cuisine espérant le voir cuisiner avec un plaid sur les épaules, mais ses espoirs furent vite brisés par un vide dans cette pièce. Il inspecta minutieusement la pièce et vit le début d'un plat pas terminé, il eu peur de comprendre la situation et s'approcha de plus près de se spectacle du quotidien qui s'avérait être aujourdhui un cauchemar. C'était la préparation d'une salade d'endives, l'entrée préféré du blond, peut-être avait-il oublié un ingrédient ? Il ne prit pas le temps de se poser d'autres questions et monta les marches quatre par quatre pour rejoindre la chambre, mais rien, son corps endormi n'était pas allongé sur les draps.

Cependant il aperçut un papier poser sur leur lit. Il le prit, son pouls s'accéléra et son envie de vomir augmenta à la même vitesse. Après quelques secondes il osa poser son regard sur ce papier si effrayant pour ce qu'il était.

Mon Blondinet,

J'espère que tu es sain et sauf et que la guerre ne t'a pas tué, la simple pensée de ta mort me donne envie de te rejoindre. Je vais être honnête mon amour, ma vie est en danger, en danger de mort. Il y a quelque temps j'ai croisé ta femme, cependant, elle m'a reconnu. Etrange oui, mais ce n'est pas le pire dans cette histoire. Elle m'a menacé, menacé d'appelé la milice pour que j'aille en camp, cependant, quand je lui ai promis de ne plus te voir (ce que je n'aurais pas fait bien sûr) elle ne ma pas cru et les a quand même appelés. J'ai pensé à fuir subrepticement mais je crains trop qu'il ne t'arrive quelque chose à cause de moi. Alors j'attends, je reste jusqu'à ce qu'ils arrivent pour m'emmener vers une mort certaine.

Si tu lis cette lettre c'est que je suis plus là mais je pense que tu l'as déjà compris intelligent que tu es. Je penserais à toi tous les jours, tu me manques et s'il te plait survie pour moi, ne meurs pas pour ce gouvernement qui nous empêche de nous aimer. Je n'oublierais jamais nos moments ensemble. Quand tu me rejoignais la nuit juste pour dormir à mes côtés, ou quand tu me regardais cuisiner et que tu passais tes bras autour ma taille. Tu as illuminé mes jours et ce jusqu'aux derniers, mon amour, tu me manque.

Merci pour tout

Je taime

Le temps s'était arrêté, tout le bruit ambiant se tut soudainement que ce soient les bruits de la forêt ou celui de son cœur. Son envie de vomir était devenu pressante et il lâcha se bout de papier. Il était juste là assis sur leur lit le regard vide espérant avoir mal compris cette lettre et se créant plusieurs scénarios possibles où son amour va revenir. C'était la tête baissée vers le sol qu'il laissa pour la première fois depuis longtemps ses larmes coulées.

Le blond était un homme pas du tout sociable, distant, froid et ne croyait pas en l'amour, cependant, il avait rencontré l'homme qui lavait fait devenir son opposé. Il voulait passer tout son temps avec lui, il était tactile avec lui et il l'aimait, il l'aimait comme il n'avait jamais aimé personne, comme il ne pourrait jamais aimer quelqu'un d'autre. Mais il avait tout perdu, tout ça à cause d'une personne, sa femme, elle avait tué la seule personne qui comptais pour lui, la seul qui supportait son caractère. Il avait perdu son soleil, sa raison de vivre.

Il se leva doucement et s'essuya toute trace de ce qu'il appelait autrefois faiblesse, ses larmes. Mais il avait l'impression que plus il effaçait leur trace plus elles coulaient. Se mélange de sensation lui donna l'impression que la pièce tournait et pour contrer ce sentiment désagréable il se tint le visage avec ses mains, courba son dos et crispa tous ses membres. Après quelques secondes dans cette position il laissa un cri séchapper, un mélange de douleur et de désespoir.

Il arriva cependant contre tout attente à se calmer et à respirer calmement imaginant ce que dirais son homme sil le voyait. Il se trouvait pitoyable et pas digne de lui mais il voulait tout de même le rejoindre.

Il se mit à observer la pièce sans savoir pourquoi et son regard s'arrêta sur un cadre, une peinture que son amant avait fait de lui. C'était en regardant ce chef d'œuvre qu'il comprit que maintenant chaque souvenir chaleureux qu'il avait de lui aller devenir amer et insoutenable. Alors il se laissa tomber pour la deuxième fois sur leur lit sans quitter des yeux cette affreuse peinture qui lobligeait à penser à lui.

Il s'allongea sur le lit et laissa ses paupières se fermer laissant le visage de feu son amant le hanter.

✨✨✨

Merci d'avoir lu cette nouvelle
En espérant que ça vous a plu

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