Chapitre 36

2 0 0
                                    

Je me réveille et m'habille. Comme d'habitude j'applique un peu de mascara sur chacun de mes yeux. Je descend et pour la première fois depuis longtemps, mon père est là, à table. Il déjeune avec nous !

Je m'assois embrasse Léo sur la joue et mon grand frère vient me fait un bisous sur le front.

« Que nous vaux le plaisir de ta présence papa, dis je sarcastiquement.

-Je déjeune avec mes enfants. Y'a quoi de mal là dedans ? Dis mon père.

-Parce que maintenant tu t'intéresse à tes enfants ? Dis je en rugissant.

-Ne me parle pas sur ce ton jeune fille !

-C'est ça il faut surtout que je ne parle pas du tout. Bref sur cet élan d'amour j'y vais ! Dis je en m'emparant de mon sac de cours.

-Je ne t'emmène pas ? dis Lucas.

-Prenez votre temps je vais prendre le bus ! »

Je sors, me dirige à l'arrêt, monte dedans et en sort lorsqu'il se gare devant mon lycée.

Lorsque je rentre dans le lycée plusieurs regards se tournent sur moi. J'entend des murmure, des moqueries. J'aurai dû m'en douter. Tout se sait toujours. Surtout dans une petite ville.

Non seulement à mère allait détruire ma famille mais elle allait aussi détruire la vie sociale. Ma vie tout court. Je l'aime mais pour cela je l'a détestait.

Je me précipite vers les toilettes, ferme la porte et me laisse glisser contre le mur.

Il ne faut pas que je pleure. Encore moins devant toute cette petite bande d'hypocrite. Je suis sur que demain il y'aura un nouveau ragot qui les fera jacasser encore plus.

Mais malheureusement je pense qu'aucuns des ragots ne puissent égaler avec le miens.

Après 30 minutes aux toilettes je décide que aujourd'hui je sécherais les cours.

Je sors donc du lycée mais une mains m'attrape le poignet délicatement.

Hayden. Évidemment.

« Tu vas où comme ça ?

-Au Mac do, dis je.

-À 9h30 du matin ? Demande t'il septique.

-Il n'y a jamais d'heure pour un bon Mac do.

-Je viens avec toi ! Dit-il enthousiaste.

-Je ne pense pas que se soit une bonne idée, dis je nerveusement.

-Tu ne m'avais pas dis qu'il ne c'était rien passer ? Et en plus tu me dois un Mac do je te rappelle.

-Ok, dis je simplement. »

Au fond de moi j'étais déçu qu'il m'est écouter parce que j'avais aimer ce baiser.

Bref on part maintenant en direction du Mac do.

Putain d'amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant