C'était écrit

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salem/bonjours

Du coup j ai rejoins ryad on est allez au mcdo

lui:c'est comment le retour au quartier

moi:* raconte tout*

lui:mais nn aymen je suis choquer mais lui et sa bande et ton frère et sa bande c'est la guerre

moi:je sais de toute façon c'est fini

lui: dommage wallah

moi: pk ils sont en guerre

lui: je sais pas wallah

on est rester un peu apres on est rentrer au quartier j ai vue aymen il me manque de ouf mais c'est mieux comme sa

ryad: il est entrain de te regarder

moi:hm guette y haytem il arrive

haytem:bien les minus

moi: oui oui

lui: mama elle est rentrer

moi:je vais monter tfacon

lui: hm vazi

j ai vue ma mère par la feunetre

elle: seyana va l épicerie achète du pain ma fille

moi: ok

pour nous c'est normal que nos daronnes crie par la fenêtre quand on était petit elle nous appelait pour rentrer haytem ma donner de l argent et je suis allez a l épicerie du quartier et la j ai croiser aymen ils s embrouillait avec une meuf

elle: tu ma déjà remplacer tu va voir je vais te pourrire la vie par allah

aymen: kenza vazi casse toi rend pas fou

je me suis avancer ils m'ont vue je suis rentrer dans l'épicerie j ai pris le pain

aymen:seyana

moi:oui

lui: smeh pour ce matin tu me et vazi laisse laisse

moi: moi aussi aymen mais c'est impossible

lui: tout est possible

moi: hm

lui: viens je te raccompagne

moi:on est au quartier aymen

lui:mh vazi

dans la peau de haytem

j etait poser en bas y a une meuf elle arrive

elle:haytem je peu te parler

karim:c'est qui elle

elle: je parle a haytem

 je me suis lever la voir elle est chelou elle

elle: ta soeur c'est bien seyana

moi: oe pk

elle:t'es au courant elle se fait serrer par quelqu'un du quartier

moi: oh parle bien de ma soeur

elle:avant de parler regarde la vidéo

elle me tend un téléphone on voit ma soeur elle etait avec le fils de pute de aymen il parlait(conv de t haleur)

moi:c'est le fils de pute de aymen ta ramener sa d'ou et pk tu viens me le dire

elle: tout se que ta a savoir c'est que ta soeur elle se fait serrer par quelqu'un du quartier