Storm

2

Lio

Quelque jours plus tard

Je me réveille difficilement. La veille je me suis couché tard, car j'ai eu la merveilleuse idée de me refaire les Harry Potter. Que je n'ai d'ailleurs pas fini, mais bon ça en devient une habitude pour moi maintenant.

En me levant de mon lit, je tombe nez à nez à mon carnet. Ce carnet c'est une façon pour moi de m'exprimer mais pas avec des dessins non. Avec des mots qui reflète ce que je pense, mes émotions.

Je passe mon temps à écrire.
Écrire à en mourir.

J'aime surtout écrire des poèmes pour me libérer.
Me libérer de mes démons.

Pour rêver.
Rêver à s'en casser la tête.

Depuis sa mort je ne fait que ça quand j'ai le temps.
J'écris tout ce qui me passe par la tête.

Que ce soit romantique.
Triste.
Poétique.
Horrifiques.
Diabolique.
Ou même traumatisant.

J'entends mon téléphone sonner au nom de James.

- je suis en bas de chez toi descends, il fait froid dehors.

- Merde j'avais complètement oublié la mission. Lui dis je en me préparent le plus vite possible.

- je t'attends en bas. Je sentis dans sa voix quelque chose d'étrange, il n'est pas comme d'habitude. Il a l'air triste.

Arrivée dans sa voiture je sors mon carnet pour relire mes poèmes.

Perdu dans mes profondes notes,
j'entends le moteurs démarrer.

- Aller en avant, soupire James.

- Je te connais mieux enthousiaste quand il s'agit de mission dangereuse, Jones. Dis je face à son air tout sauf enthousiaste.

- Mouais, marmonne t'il.

Durant ce trajet silencieux, je gribouille mainte et mainte feuilles d'ancre noir que je viendrai mettre au propre plus tard.

- Je me demande, comment a tu eu cette passion pour l'écriture de poèmes. S'exclama James
Je te vois toujours avec ton bloc notes ou carnet, peu importe,
Ça signifie quoi au juste. Me questionna t'il.

- La liberté
Ma liberté...

- Barbant comme passion.

- Si tu le dis.
Me contentais-je de lui répondre.
Un blanc s'installe dans la voiture, mais il est tout sauf gênant.

-

Arriver sur les lieux sombres du nord de Londres, James m'indique les endroits où nous devons nous rendre, ce qui me choque sur le moment car personne ne nous a vraiment donné d'indications. Donc comment peut il connaître si bien les plan, mais laisse cette pensée de côté.

Malheureusement pour nous un groupe d'hommes composé de quatre personnes sont déjà sur les lieux. Nous enfilons notre capuche et essayons de nous faire le plus discret possible, ce fut rater.