p.29 (𝑝𝑜𝑒́𝑠𝑖𝑒)

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Les larmes coulaient sur ses joues rouges,
Son souffle des plus silencieux et étroit,
Son regard du ressenti d'une aiguille
Traverse mon corps pesant,
Ses mains tremblante, la nuit prenant
Dans ses bras son corp pour l'allonger sur le sol froid brusquement devant
Mon regard indifférent,
Ses yeux perdant son existence
Dans le silence du vent
Le rouge étais la couleur de ses lèvres, prenant l'empleurs du sol,
Se faisant remarquer par les lueurs de la lune entourant son corp froid,
Mon corp figée d'indifférence donnant le contrôle a mes sentiments
Éprouvant une peur et une confusion.

On l'avait tué, mais l'arme se trouver dans mes mains.

C'est écrit noir sur blanc, je n'ai plus qu'à le direOù les histoires vivent. Découvrez maintenant