Ce Monde Est Cruel [ Levi x reader]

Chapitre 11

Je me levai et me mit à mon bureau pour me calmer sans réveillé Eren. Un peu d'air frais ne me fera pas de mal.

Je partis dehors pour prendre une bouffée d'air frais. Je m'assis à un banc dos au bâtiment. J'aurais peut-être dû mettre un pull il fait froid. Et puis j'ai mal à la tête. J'aurais dû prendre mes cachets.

Je passai une quinzaine de minutes seule à essayer de me calmer, quand une voix m'appela au loin. J'essuie mes larmes rapidement après avoir reconnu cette voix.

- Qu'est-ce que tu fait là Livaï ?

- Je te retourne la question.

- Je l'ai poser en première alors répond.

- J'avais envie d'un peu d'air frais, je faisais de la paperasse. Et toi maintenant c'est à toi de répondre.

-...

Il s'assit à côté de moi et posa sa main sur mon épaule que je rejetait.

- Je n'arrivais pas à dormir c'est tout.

- Tu ment bien. Mais je t'ai entendu pleurer.

- ...

- Tu pensais à quoi ?

- Toi !

Et merde c'est sorti tout seul. Il me regarda étonner.

- Je suis désolé de te faire pleurer t/p.

- C'est pas toi directement.

- Alors c'est quoi?

- Ce jour là.

- ...

- J'avais confiance en toi Livaï. Tu es la seule personne à qui j'ai raconté mon histoire. Personne n'est au courant de ce qu'il m'est arrivé... Sauf toi. Et un soir je t'entends dire à Hansi que tu ne me fait pas confiance ça à été comme un choque.

- Tu peux me laisser m'expliquer ?

- Dit toujours.

- Erwin... Je ne peux pas le contre dire.

- Oui mais tu peux avoir ton propre avis.

- Laisse moi parler.

-...

- Comme je ne savais ce qu'en pensais Hansi j'ai préféré dire ce qu'Erwin pensais. Et tu as malheureusement entendu. C'est de ma faute si tu as été kidnappé.

- Nan c'est juste moi qui n'est pas fait attention.

Il baissa son regard sur mes main. À oui c'est vrai que j'ai frappé mon mur avant de sortir.

- Tu t'es fait quoi ?

- Rien.

- T/p ?

- Je te dit que j'ai rien fait.

- Alors c'est Eren qui t'a fait ça ?!

Il s'était énerver. D'après Hansi il ne perdait jamais son calme. Il avait l'air complètement furieux.

- Mais non t'es con jamais il m'aurait fait ça.

- Alors !?

- C'est bon c'est moi !

Il pris mes mains froide dans les siennes qui étaient chaude. Il me regardait dans les yeux l'air interrogateur.

- J'arrivais pas à me calmer. Fallait que je me défoule.

- T'a taper dans quoi ?

- Un mur.

- Suis moi.

Il me pris par le poignet délicatement pour ne pas appuyé sur mes plaies ouvertes. Il me traina dans son bureau. En entrant il me fit entrer en première.