Mexico

Mì quérida

Coucou ! Deuxième chapitre ! Je doit vous avouer que je ne sais pas du tout ou sa va nous menez car j'ai peur de ne pas la finir comme les deux autre histoire disponible sur mon profil mais je vais essayer. J'espère que vous aimerez si oui votez ou commentez svp 🌹

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Ma tête cogne contre le siège devant moi , me réveillant de ma sieste. Le chauffeur du bus vient de freiner drastiquement. Cabrón pensais-je. Je soupire et remarque que mon point d'arrêt est droit devant. Je frotte mes paupière du revers de la main pour me réveiller. Je prend mon sac posé à mes coté. Le bus s'arrête a destination et je descend du véhicule. Je sourit au portier et entre dans le restaurant. Je vais vers les vestiaires pour me changer. J'entre dans la petite pièce blanche. Un de ses petits mur occupe seulement des casiers beiges pour les employés et un long banc en bois au centre de la pièce. Je me débarrasse de mon jeans a trou et de ma veste de cuire. Je retire mon débardeur rouge et le remplace par le t-shirt noir du restaurant. J'enfile ma jupe évasé noir aussi et rentre mon chandail a l'intérieur. Je retire mes basket et mes chaussettes pour enfiler des ballerine toujours noir. Je remonte mes cheveux noir en une queue de cheval bien haute et serrée. Je tresse ensuite mes cheveux pour en faire une tresse haute très élégante. Je me regarde dans le miroir et sourit face a mon reflet toujours aussi impeccable que d'habitude. Malgré mon âge je n'ai jamais eu de petit copain j'ai toujours prioriser ma famille et mes études.

Je quitte cette pièce et me dirige vers le bar pour prendre la liste des tables dont je serais chargé ce soir. Je prend mon mini tablier qui se met a la taille et l'enfile. Je coince mon macaron ou il y a inscrit mon prénom dans mon haut et prend un bloc note et un crayons que je glisse dans les petite poche de ton tablier. Soudain mon téléphone vibre je jette un rapide coup d'œil et voit un SMS de Gabriella me demandant de venir la chercher en finissant le boulot a vingt-deux heures car elle ne sera pas en état de conduire. Je soupire comme mi prima (ma cousine) Gabriella est inconsciente et cela m'inquiète. Je ne veut perdre personne d'autre. Je sens une main se posé sur mon épaule et je sursaute. Je tourne les yeux vers Miguel le barman.

-Ca va Marianna ?

Je lui sourit et hoche positivement de la tête. Je me dirige donc vers la salle a manger pour servir le couple qui vient d'arriver a la table douze qui est sous ma responsabilité ce soir. J'approche deux.

-Bonsoir , comment aller vous ? demandai-je un sourire bienveillant sur les lèvres.

Le secret pour avoir du succès dans ce genre d'endroit qui côtoient le personnel c'est d'avoir de bon employer agréable avec la clientèle. Si les employer sont désagréable personne ne voudra se faire servir par un connard pas vrai ?

-Buenas noches (bonsoir) mademoiselle bien merci. Me répond la femme. L'homme lui se contente de garder le silence et de me faire un hochement de tête.

-A la bonheur alors je vous laisse les menus et je revient dans quelque minutes pour commander sa vous va?

La dame me sourit.

-Oui sa sera parfait.

-Puis-je vous servir quelque chose a boire?

La femme au cheveux roux réfléchit un instant avant de me dire quelle  veut seulement de l'eau. Je me tourne vers son mari toujours silence qui plante son regard dans le mien.

-Et pour le señor ici? demandai-je.

-Une bière.

Je hoche la tête avant de l'inscrire sur mon papier et je m'empresse de donne leur commande a Miguel. En attendant que Miguel me donne les breuvage du couple deux homme totalement vêtu de noir arrive. Tout les deux sont marqué du même tatouage : un aigle. Génial deux homme du Cartel d'Adam vienne d'arriver. Ils me fixe tout les deux. L'un a le regard froid et me fixe droit dans les yeux. J'ai l'impression que ses pupilles émeraude me transperce jusque dans l'âme. J'en ai des sueur froide. Son regarde incarne le mal et la douleur. Je réalise que mes jambes sont molles et que mes membres tremble face a la terreur que m'inflige cette homme en un seul regard. Je n'avait jamais eu de contact visuel de loin ou de proche avec un narco dans leurs genre seulement vue de loin rien a voir avec les petits bandits de quartier qui tente d'imiter leurs cartel mais eux sa se voit il ne joue pas au bandit et au voleur non eux il sont des dealer des assassins des meurtrier sanguinaire sans aucune pitié. Je dirige mon regard vers celui de gauche qui lui balade ces yeux sur mon corps en entier comme si j'étais a vendre. Ses yeux a lieu sont d'un vert beaucoup plus clair mais tout aussi profond. Ses lèvres son étirer dans un sourire étrange. Leurs trait sont très similaire et il se ressemble beaucoup j'en déduit donc que je suis face a deux frères. Ils me quittent du regard quelque seconde pour prendre place a une table a environ 10 mètre de moi. La table numéro seize. Qui se trouve a être aussi la mienne. Mierda ! Je n'arriverai jamais a m'approcher d'eux. Leurs regard déstabilisant me fixe de nouveau.

-Pequeña (petite) ?

La voix de Miguel me sort de mon analyse et je tente de ne pas montrer ma panique. Je sourit et lui répond:

-Pequeña ? Sérieusement Miguel ? Tu a seulement deux ans de plus que moi.

Il rigole en me tendant le plateau.

-Je disait plutôt sa pour ta taille pas ton âge.

Je rigole avec lui. Il adore me taquiner avec ma taille car du haut de mon mètre soixante-deux il me dépasse d'au moins une tête et demi. Je saisi les boissons du couple et va vers eux en tentant de ne pas faire part des deux paires de yeux vert qui me fixe toujours.

-Voila pour vous, dis-je en posant leurs breuvages sur la table.

Je coince le plateau sous mon bras.

-Alors avez vous choisit ce que vous désiriez manger ce soir?

-Pour moi ce sera votre chilaquiles, répond la dame.

-Très bon choix.

je tourne la tête vers l'homme et il me dévisage encore. Je commence a être de moins en moins a l'aise avec son regard sur mon visage. J'allais parler mais il s'empresse de me devancer.

-Excuser moi de paraitre indiscret mais connaissiez vous une Andrea Martinez?

Sous le choc je hausse les sourcils l'homme vient vraiment de prononcer le nom de ma mère. Je tente de me reprendre car je suis au travail et je doit rester professionnelle si je veut garder mon emploi qui m'offre une vie normale avec tìa.

-Oui euh... c'était ma mère.

-Il me semblait avoir reconnu Andrea en vous.

Je sourit mal à l'aise et demande a l'homme si il a choisi sont plat il s'excuse de sa question et s'apprête a me dire ce qu'il veut quand il sifflement retentit.

-Eh chica!

je réalise que c'est a moi que s'adresse le mafieux au yeux clair. Mal à l'aise et un peu frustré je prend le plat du monsieur et me dirige vers leurs table. A vrai dire je ne sais même pas comment mes jambes réussissent a avancer tellement elle tremble. Je prend mon courage a deux mains et arrive près d'eux.

-Bonsoir, dis-je avec un sourire des plus hypocrites et crispé que j'ai jamais fait.

-Bonsoir hermosa (beauté).

Je suis surprise de son attitude.

-Je vais vous laisser les menu et....

-Est tu sur la carte mì quérida (ma chérie) ?

Je contracte mes muscle dégouté de son manque de classe. Je pose les menus devant eux et je sens le regard froid et sans vie de l'autre qui d'ailleurs n'a pas parler il ne fait que m'étudier de la tête au pieds.

-Prendrez-vous quelque chose a boire messieurs?

Je tente de rester ferme et professionnel malgré toute les émotions qui se bouscule en moi. Je suis terrorisé d'être face a des membre du cartel d'Adam mais aussi dégouté par le regard du pervers au yeux clair.

-Deux verre de whisky. Sa te va hermanito (petit frère)?

J'avais visé juste ils sont belle et bien frères. Mais malgré la question que lui a posé son frère il ne répond pas et garde ses yeux foncé plonger en moi. Je tente de soutenir son regard mais baisse aussitôt les yeux totalement pétrifié par la noirceurs au fond de ses iris verte foncé. Je revient sur terre .

-Je vous apporte sa , lâchai-je le plus décontracté possible.

-Eres un amor mi querida (tu est un amour ma chérie).