L'amour commence avec un étincelle,
Et rapidement se transforme en brasier.
Le feu te consume, agitation perpétuelle.
Un amour débraillé,
Contre lequel tu ne peux rien, inapaisable.
Tu le sais pourtant, on ne joue pas avec le feu,
Mais tu te crois inatteignable.
Tôt ou tard tu te brûle.
La flamme s'apaise,
Mais le charbon ardent se ravive sous un coup de vent.
Tu te pense guéri, le sang coagule.
Mais cette fois tu t'es promis d'être plus prudent ;
Alimenter le feu qui t'animes, brûlant.
Plus jamais il ne s'éteindra,
Et plus jamais tu ne te blessera.