Hermana

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Coucou ! J'espère que vous allez bien je publie le quatrième chapitre et j'espère que sa vous plait pour l'instant. Que pensez vous qui va arriver à notre chère Marianna? Si vous aimez n'hésitez pas à voter et commentez ! :) 🌹💚



Point de vue: Marianna

J'imerge de se sommeil qui a été des plus court. C'est le troisième jour que mì hermana ne pas adresé la parole toujours blessé et en colère face a mes propos devant le Spot il y a quelques jours et je souffre de ne plus la voir et de ne plus avoir cette complicité que nous avions. Nous sommes samedi et je ne sais pas quoi faire de ma soirée.

Je me lève de mon lit il est quinze heure dix-sept. Estefania est parti en weekend avec ses copines et je l'ai laissé partir en lui assurant que je serai en sécurité. La sonnerie de mon portable me sort de mes pensées. Le nom de Gabriella s'affiche et je ne sais pas à quoi m'attendre.

-Allo? Hermana?

Sa voix m'apaise et je comprend qu'elle ne m'en veut plus.

-Gabriella, mì Amiga (mon amie).

-Tu est libre ce soir Bella?

Bella.Le surnom que seul Gabriella me donne en honneur de mon premier prénom.Isabella Marianna Garcia.Tous finissant par a.Ma grand mère m'appellais Isabella elle me disait que j'avait l'air d'une princesse avec ce prénom , ces longs cheveux noir et mes pupilles indigos. Elle me racontait que mon père m'appelais ma princesse.

-Bella?

Sa voix me tire de mes pensée lugubre

-Oui je suis libre.

-Alors tu vient en boîte avec moi ce soir on va s'amuser! Tu m'a manquer hermana.

Je soupire je déteste cette endroit. J'hésite mais le fait que je lui ai manquer et que je doit en quelque sorte me faire pardonner pour mes parole cruel de l'autre soir me fait accepter son offre.

-Seriamente ( sérieusement ) ? Je t'adore mì amiga ( mon amie) !

Je rigole et elle me suit.

-Je suis là dans deux heure pour qu'on se prépare ensemble comme au bon vieux temp hermana!

-Je t'attend .

Elle raccroche et je sens déjà la merde venir. C'est une évidence que cette soirée va finir extrêmement mal. Mais je tente de faire taire mon instinct et ma conscience qui me hurle de ne pas aller à cette soirée avec elle. Je doit garder Gabriella à mes côté car sinon elle me glissera entre les doigts comme mì prìma ( ma cousine) et je ne veut pas revivre cette douleur encore j'ai perdu beaucoup trop de gens autour de moi.

                           🌀

Quelques heure plus tard nous sommes dans ma chambre et Gabriella finit de peindre ses lèvres d'un rouge foncé et brillant.

Je suis vêtu d'un robe noir à paillettes courte et échancrée. J'ai des talons pas trop haut mais déjà suffisamment pour moi.Mes cheveux habituellement raide son légèrement bouclé et mes yeux son maquillé d'un trait de eye-liner et du mascara noircissant encore plus mes long cils épais.Mes lèvres sont resté naturelle mais Gabriella a insisté pour me faire les ongles et je déteste sa. Je ne suis pas de nature très féminine et princesse alors je ne suis clairement pas dans mon élément là.Lorsque je regarde mon reflet dans le miroir je ne me reconnaît plus. Je ne sais pas si sa me plait mais je me dit que ce soir je peut jouer le rôle d'une autre personne et que je vais pouvoir oublié qui je suit et échapper à ma vie misérable seulement pour un soir. J'ai parler trop vite si seulement j'avais su...

Après une éternité Gabriella finit de se préparer et me dit que nous partons pour le Spot dans dix minute.Il est dix-neuf heure et je descend les marche maladroitement avec ces foutu talons.
Je sort et nous entrons dans la voiture de Gabriella.

Elle démarre et nous roulons direction cette boîte nuit de mes deux.Nous chantons à tue tête comme deux folles et nous dansons en criant les paroles de Rockabye. Vous aller me dire que c'est n'importe quoi d'écouter de la musique américaine quand on est au Mexique mais moi mon amie ma cousine adorons leurs style.

Nous arrivons dans le stationnement du Spot. Un combat intérieur s'immisce en moi. Dois-je m'amuser et bannir ma méfiance ? Ou dois-je rester sur mes gardes et passer une mauvaise soirée. Mais le sourire béant plein de naïveté que me lance mon amie me fait lâcher prise et c'est bras dessus bras dessous que nous pénétrons dans cette ambiance de folie. Je sens déjà la même chaleur étouffante que la dernière fois mais cette fois ci je ne m'en préoccupe pas et suit Gabriella vers la piste de danse.
Elle se déhanche et j'étudie comment elle fait. Je n'ai jamais dansé dans une boîte de nuit . Alors j'essaie d'imiter mì amiga et sa l'air de plutôt bien marcher puisqu'elle sourit encore plus et des regard de toute sorte se pose sur nous et la musique bat dans mes talons dans mon ventre dans mes oreille dans mon dos sur tout mon corps en entier. Je me laisse aller et moi et mon amie nous rapprochons pour danser sensuellement. Je ne me comporte jamais comme sa mais l'euphorie de cette endroit mon désire de me lâcher un peu et surtout mon désir d'oublier Andrianna pour un soir. J'en ai marre qu'elle hante mes pensé et qu'elles me hante jour et nuit à m'en bouffer l'âme. Essoufflé je m'arrête et je dit à Gabriella que je vais chercher à boire. Elle me demande vodka orange et moi je prend seulement de l'eau. Je veut m'amuser pas vomir à la fin de cette soirée.

Mais lorsque je pivote sur mes pied pour m'éloigner pour retourner au près de ma partenaire je voit cette paire de yeux vert-de-gris. Je lâche ce que j'ai dans les mains à nouveau paralysé par la peur de me retrouver face à lui. Pourquoi est t'il la ? Je suffoque et décide d'aller prendre l'air alors je me dirige vers la porte arrière du bâtiment et sort pour laisser l'air glacé emplir mes poumons.Poumons qui se gonflait d'angoisse.

Puis soudain on me coupe la vue d'un sac noir et je tente de me débattre lorsque je sens deux bras me saisir.Je suffoque et tente de hurler du plus fort que je suis capable. Je suis tétanisé. Je donne un coup de tête à mon assaillant et je sens sa prise se défaire largement assez pour me permettre de me sauver et de me mettre à courir toujours le sac sur la tête. Mais je n'ai pas le temp de l'enlever je doit fuir. Mais mes foutu talons ne sont pas idéal. Soudain mon talon craque et ma cheville se tord et je tombe au sol. Un cri de douleur m'échappe et aussitôt je fût rattrapé par les aisselles on me soulève de terre .Puis un coup sur la nuque me fait pioncer et c'est le trou noir. Inutile de luter face à l'inconscience qui s'immisce en moi.

Mexico Où les histoires vivent. Découvrez maintenant