Mexico (Réécriture)

Pablo Escobar

Coucou ! Alors j'espère que vous aimerez ce huitième chapitre sur le premier interrogatoire de Marianna. Que pensez vous qu'il va se passer? Svp si vous apprécier votez et commentez sa m'aiderait car c'est grâce à vous que je réussi à continué si personne ne li ou ne porte attention à cette histoire elle n'a plus de public pour continuer alors svp faite le gros bisous xoxo bonnne lecture ! 💚

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Point de vue : Marianna

-Debout.

Son ordre a brisé le silence d'un ton cassant et je sursaute. Sa voix rauque et calme me fait frissonner. Je le scrute de la tête au pieds. Il doit faire un peu plus de deux mètre. Il est couvert de tatouage, la peau de ses bras est noircies par l'encre. Il porte un chemise noir qui moule son torse large et musclé sans le serrer. Il porte une chaîne en or blanc et une montre du même métaux.

Je sais faire la différence entre de l'argent et de l'or blanc. Il y a quelques années, j'ai travaillé dans une bijouterie en plein centre-ville. Ils ont fini par fermer après un gros cambriolage... Heureusement, j'ai eu la chance d'y échapper.

Ses bijoux doivent valoir plus que mon salaire mensuel au restaurant.

Il porte un jonc à son annulaire droit également. Ses cheveux court à peine coiffé sont noir casiment aussi noir que les miens.

-J'ai dit debout!

Sa voix me fais sursauter une nouvelle fois et je me redresse aussi vite que j'ai pu.

Je suis si terrifié que mes membre sont prit de secousse beaucoup plus violentes que de simple tremblements.

-Ou est ma poudre chica?

Sa poudre ?

- Je vois en pris... laissez nous partir tout les deux nous n'avons rien avoir là dedans...

C'est tout ce que j'ai trouver à dire ou à répondre. J'ai bégayé comme une putain de gamine. Ce type me fait froid dans le dos et je le vois froncer des sourcils il s'approche de moi dangereusement. Je recule jusqu'à être adossé au mur glacial de béton.

- Je ne crois pas que tu comprenne puta tu va me redonner ma drogue sinon toi et ta petite copine de l'autre côté je vous butent.

Je hurle dans un sanglot et pleure comme un bébé à qui on aurait arraché sa sucette.

C'est complètement pathétique. Je dois faire pitié à voir et pas dans le sens où ils me laisseront la vie sauf.

-Je ne veut pas mourir. Balbutiai-je entre deux sanglots.

Putain je suis pas du genre pleurnicheuse d'habitude mais là je dois avouer que je n'ai pas l'impression d'être moi même peut importe ce que je fais.

-Alors donne moi ma poudre Marianna.

Mon prénom dans sa bouche me glace le sang dans les veines. Je frissonne et il s'approche encore plus de moi. Puis alors que son regard bleu meurtrier ne quitte pas le mien des cris fendent l'air.

Ses cris.

-Gabriella!

La grande main d'Adam se pose brusquement sur ma bouche pour me faire taire.

-Cállate ( Ta gueule)!

Je hoche la tête en pleurant.

Les cris se rapprochèrent et l'homme qui m'a giflé plutôt tient ma meilleure amie par les cheveux l'a lance au sol une fois entré dans la cellule. Elle atterri durement sur le sol et un petit cri de surprise et de douleur traverse ses lèvres.