Saison 1 #Épisode_1

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C'était vers la fin du mois de mai, un samedi, lors du mariage en zone résidentielle au quartier Tchikobo d'un de mes bons amis pontenegrin. J'avais 23
ans. Après le dîner, je discutais avec un autre ami. On parlait de nos premières activités professionnelles comme jeunes
ingénieurs et un des invités, d'une cinquantaine d'année, entendant notre conversation, s'approche et s'intéresse à
nous. Et j'apprends que lui et moi travaillons dans le même secteur d'activité, mais dans 2 sociétés différentes. Mon ami
est appelé par une copine qui veut danser avec lui, et je continue à discuter avec ce monsieur fort sympathique. Sa
femme nous rejoint. Elle était partie rechercher quelque chose au vestiaire et dit au bout d'un moment à son mari qu'elle
préférerait danser, plutôt que d'assister à une discussion sérieuse sur le travail. Son mari lui dit :
- J'ai envie de prendre un peu l'air dans le jardin, pourquoi n'invites tu pas ce jeune homme.
Ce que je m'empresse d'accepter, devant le regard pénétrant de cette femme.
Renoise, assez grande, environ 1m70, je lui donnais 40 ans. Un ensemble élégant mettait en valeur les courbes d'un corps
bien dessiné, laissant entrevoir un décolleté assez discret, mais malgré tout très évocateur.
Un ou deux rocks endiablés, suffisent pour rapidement sentir que nous sommes bien en rythme, anticipant bien le
mouvement de l'autre. Elle me fixait du regard. Ses yeux bleus avaient quelque chose de fascinant pour moi,
impressionné sans doute par cette femme en pleine maturité, pensant que je n'étais pour elle qu'un gamin. Fin du
deuxième rock et je m'attends à ce qu'elle veuille se reposer et rejoindre son mari, lorsque la musique enchaîne sur un Afro love « Angelu « célèbre morceau de Kelly zul.
Au lieu de partir, comme je le pensais, elle se serre contre moi et continue à vouloir danser. Dans le bruit du rock
précédent nous n'avions pu parler, mais là notre conversation peut s'engager. Son mari et elle sont des amis de la
famille de la mariée, lui s'appelle Marius LK et elle Chrisma MT. Ils habitent à Brazzaville à coté de la mandarine. Ils n'ont pas
d'enfants. Je lui dis que je m'appelle Massimo Wylder et que suis un ami de classe du marié. Elle en déduit que je dois avoir 23 ou
24 ans, ce que je lui confirme. Elle me dit qu'elle aime danser, mais que son mari, cela ne l'intéresse pas, qu'il est trop
absorbé par son travail.
Au fur et à mesure de la conversation elle se serre de plus en plus contre moi, son regard se fait plus pénétrant, son
visage est tout près, presque à toucher le mien. Elle a les lèvres très légèrement entrouvertes et laisse deviner le bout
de sa langue qui les effleure. Son parfum est enivrant et je me risque à lui dire que j'aime beaucoup ce parfum et que je
la trouve très élégante dans sa robe. Ce compliment me vaut un merci ponctué d'un sourire très enjôleur, tout en se
cambrant légèrement en arrière pour m'offrir un peu plus son décolleté, et en plaquant davantage son ventre contre mon
bassin, sentant sans aucun doute un renflement naissant dans mon pantalon. Ma main droite, qui la tenait au niveau
des omoplates descend doucement jusqu'au niveau de ses reins en esquissant une caresse à travers sa robe légère,
qui me laisse deviner des courbes exquises. A cela elle répond par une légère ondulation du corps, accompagnée d'un
très léger soupir.
Cela fait deux ou trois slows que nous dansons et la musique reprend sur un rythme plus endiablé. Elle me propose

alors, plutôt que de continuer à danser, de faire un tour dans le jardin pour prendre l'air, et m'entraine par la main. On se
croirait déjà en saison sèche; il est minuit passé et il fait délicieusement bon. Ce n'est pas encore la pleine lune, mais le ciel est
limpide et la nuit constellée d'étoiles. Le jardin est bien dessiné, assez grand. C'est plutôt un petit parc avec plusieurs allées qui serpentent entre de grands arbres pour arriver à un petit bassin dégagé. On croise quelques personnes, des
couples qui profitent de la douceur de la nuit pour marcher un peu, loin du bruit et de la chaleur de la piste de danse.
Nous arrivons au bout du jardin, près du bassin. Tout est calme, nous sommes seuls. Nous nous tenions par la main
pendant toute cette promenade et arrivé au bassin, elle lève la tête, en regardant vers le ciel et me demande :
- Vous connaissez les étoiles ? Où est l'étoile polaire qui paraît il indique le nord, me dit elle ?
Par chance mon grand père, m'avait intéressé très jeune au ciel et aux étoiles, aussi je n'eu aucun mal à lui indiquer
comment reconnaître l'étoile polaire.
Elle n'était pas sure de bien l'identifier, aussi, je me mis derrière elle, lui pris le bras droit, le mien le long du sien en
pointant sur les étoiles de la grande ourse et enfin sur l'étoile polaire. Dans ce mouvement elle s'appuyait sur moi,
penchée en arrière, plaquant son corps contre le mien. Mon visage était en parti baigné par ses cheveux, légèrement au
dessus de sa nuque et je respirais tout son parfum. Ma joue touchait son oreille, et pour éviter de tomber en arrière
j'avais mis ma main gauche juste posée au niveau de son estomac. Pendant que mon bras droit guidait le sien pour
pointer sur les différentes étoiles, elle prit progressivement ma main gauche avec la sienne, pour la faire remonter
lentement sur sa poitrine et glisser doucement sur son décolleté. Elle me dit dans un murmure sensuel :
- Tes mains sont douces, caresses moi doucement.
Elle était passée du vouvoiement au tutoiement. Devant un tel appel je ne pu résister, et avec mes deux mains je lui
caressais doucement les seins, et lui donnais un baiser dans le cou et derrière l'oreille, ce qui lui arracha un petit cri de
plaisir. Ce moment délicieux fut vite interrompu, car d'autres promeneurs arrivaient près du bassin et nous décidâmes
de revenir vers le bâtiment d'où venait la musique.
En chemin, je m'excusais pour ces gestes indélicats, mais elle me dit au contraire que c'était elle qui les avaient
provoqués, par ce que je lui plaisais, qu'elle trouvait que j'avais une silhouette à la fois élégante et sportive. Pour
rejoindre la piste de danse nous traversâmes un salon, et nous ne nous tenions plus par la main par discrétion. Dans le
salon, son mari ( Marius) était là assis dans un grand fauteuil en train de discuter avec un autre monsieur. Nous voyant, il
demanda à sa femme où elle était passée, ne la voyant plus sur la piste de danse. Elle lui répondit :
- Massimo m'a gentiment fait dansé et comme il faisait trop chaud on est allé prendre le frais dans le jardin, pensant t'y
trouver. Massimo, m'a même appris à reconnaître l'étoile polaire. Il connait beaucoup de choses sur les étoiles.
- Ecoute Chrisma, il est tard lui dit Marius, il faut songer à rentrer, nous avons pas mal de route à faire.
Là dessus Chrisma lui dit :
- Je voudrais danser encore une fois avec Massimo, puisque toi tu n'aimes pas danser.
- Bon d'accord lui dit Marius, je vous attends au salon, mais après on rentre.
Et nous voilà reparti pour danser. Par chance c'est un slow et nous pouvons parler. Elle se plaque contre moi. Elle me
dit :
- Cela te dirait de venir un weekend à Brazzaville ? On a une grande maison avec une piscine, (je lui avais dit, pendant
que nous marchions dans le jardin, que je faisais de la natation comme sport).
Un peu surpris par la proposition, je lui dis :
- Oui, mais ton mari va en penser quoi ?

Chrisma une femme de 40 ans Où les histoires vivent. Découvrez maintenant