Les Secrets...[kiribaku] ~[Tododeku]

Chapitre 21

/\ TW : Ce chapitre peut heurter la sensibilité des lecteurs, description de viol, si vous êtes sensible sur ce sujet vous pouvez passer ce passage, il sera séparé par une ligne continue /\

PDV IZUKU :

Hiro me conduit alors jusqu'à "ma chambre"

Une chambre banal.

Je dépose mes affaires sur mon bureau quand j'entendis un bruit de serrure.

Moi-"Pourquoi tu ferme la porte à clé ?! Ouvre cette porte !?"

Hiro-"Il est nécessaire qu'elle soit fermée pour que je puisse t'aider..."

Moi-"Quoi ?! De quoi tu parles ouvre cette porte maintenant !?"

Hiro-"Non. Écoute c'est pour ton bien, je vais te soigner... et tu me pardonneras..."

Moi-"Mais je suis pas malade ?!"

Hiro-"Je vais te montrer à quel point c'est contre nature, à quel point c'est mal... tu ne seras plus une pédale, j'y veillerai..."

Il s'approcha de moi, la fenêtre...non... on est au 12e étage... je peux pas m'enfuir... il me fait peur, je sais pas ce qu'il veut me faire...
L'air devient de plus en plus pesant au fur et à mesure qu'il s'approche...

Il est à quelques centimètres de moi...

Il sourie, un sourire malsain...

Je veux partir...

Je suis pas bien...

J'arrive plus à bouger...

PDV OMNISCIENT :

Il posa ses main sous le menton du jeune adolescents.

Le fixa.

Il passa ses mains sous le haut de ce corps paralysé par la peur.

Il attrapa le cou de sa victime, serrant, laissant très peu d'air pénétré dans les poumons du jeune garçon, il l'obliga sa proie à s'allonger sur le lit...

Il déshabilla celui qui aurait dû être son fils s'il ne l'avait pas abandonné...

À la vue de ce corps nu il se léchât les lèvres de façon obscène...

Le jeu homme pleurais, son corps s'étant mis en auto défense il ne pouvait rien faire...

L'agresseur caressait son corps, et chacune de ces caresse était comme des centaines d'aiguilles qui traversaient sont corps.

Il voulait que ça s'arrête.

Son paternel en avait décidé autrement et récupéra quelques chose dans un tiroir et retourna ce corps qu'appartenait au jeune homme au cheveux bouclés...

Le silence était complet, comme si personne ne pourrait le sauver...

Seul la voix du jeune garçon résonnait dans la pièce... il le supplié d'arrêter, qu'il ne voulait pas, il répétais encore et encore qu'il ne voulait pas qu'il le touche, en le suppliant encore et toujours... cela résonne comme un vieux disque qu'on aurait laissé tourner en boucle...