Chronique d'Anissa : la voisine du voyou

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Salam aleykoum bonne lecture :

Moi - Certe l'enfant n'était pas de lui mais sa changer rien au fait qu'il avait couché avec elle et puis ils sont marié peut être qu'il restera quand même avec elle

Nayra - mais t'es malade il doit déjà être entrain de la pendre

Moi - non il la frappera pas elle est enceinte

Nayra - oui sûrement mais anissa il a couché avec elle oui mais c'était y'a 2/4 mois sa fessait 2 ans qu'il avait pas eu de nouvelle de toi il était bourré et surtout il

Hicham - taime

Il venait d'entrée dans la pièce

Hicham - anissa je t'en supplie laisse moi une dernière viens on réessaie une dernière fois cette fois ci personne va m'empêcher de te pose la question anissa

Une infirmière -Bonjour

Nayra - CEST PAS LE MOMENT

Elle est dircte ressortit meskina

Hicham - Anissa est ce que t'accepte de me supporter moi et mon sale caractère de me laisser te prouver une dernière fois que je taime que j'ai changé que je te rendrais heureuse je lèverai plus jamais la main pour toi je t'éloigneraient de plus personne je taime plus que tout nissa jarrive plus a vivre sans toi anissa si t'arrive a me regarder yeux dans yeux et a me dire que tu ressen plus rien pour moi je me tuerais je quitterai la France même l'europe si tu veux mais anissa jusqu'à la fin de ta vie est ce que t'accepte de supporté et est ce que t'accepte de m'épouser ?

Sami - non

On l'avait même pas vu arriver

Sami - elle va pas t'épouser parce que je l'aime aussi

Nayra - Quoi

Hicham - vasi répète pour voir

Moi - STOOOP écoutez c'est simple sami tu ma ramasser a la petite cuillère je me sentais bien avec toi sa fessait longtemps que j'avais pas étais aussi heureuse et je taime aussi

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3 ans plus tard

J'étais dans la cuisine je fessait à manger quand j'entendis des pleur c'était mon fils nejim 3 mois

****- laisse je m'en occupe

Je m'étais marié et j'avais eu un enfant avec un homme formidable que j'ai appris à connaître j'étais la plus heureuse

C'était un homme présent pour moi compréhensif qui assumait sa famille nos parents était aux anges

Moi - habille le sil te plait omri on va chez ta mère

**** - Vasii t'es prête toi ?

Moi - t'inquiète je reste en abbaya je met juste mes chaussures

Je prit le couscous que j'avais fait couvra la grosse assiette et enfilas mes chaussures