Non, tu veux vraiment pas savoir, si tu sais, que tu arrives à assimiler la moindre petite chose que j'exprimerai dans mes textes tu voudras tout simplement pas rester. J'y pense encore et encore, ça tourne dans ma tête comme une tornade de désespoir, un orage de douleur qui ruine tout sur son passage et qui ne s'arrête sous la seule et unique condition qu'il ne reste plus que poussière et désolation. Ça t'étonne ? Tu ne comprends pas ? "t'avais l'air heureux et t'étais marrant" c'est ce que tu m'a dis. Comme quoi y'a pas que la lune qui à une face cachée :) Tu pourrais même pas imaginer à quel point on m'a détruit. Alors non, tu veux vraiment pas savoir...