chapitre 3

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?? : "messire Tartaglia"

Un homme étrange, vêtu de noir apparût devant nous, appelant Tartaglia...messire ??
Pourquoi l'appeler messire ??

Tartaglia lui jette un regard noir et l'homme se tut

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Tartaglia lui jette un regard noir et l'homme se tut.

Il redirigea son attention vers moi.

Childe : "tu m'excuseras un instant, je dois parler affaires avec cette personne. Tu peux commencer le repas si tu le souhaites"

À ces mots, il se leva et partit avec l'homme en noir dans un coin, me laissant seule avec ce délicieux festin.

Il doit être très haut placé pour être appelé messire...

Enfin bref, cette nourriture n'attend que d'être dévorée ! J'en ai l'eau à la bouche ! Commençons !!

Une dizaine de minutes plus tard

Tartaglia revint à table.

Childe : "incroyable ! Je pars à peine 10 minutes et tu as déjà terminé 2 plats entiers !!"

Childe : "incroyable ! Je pars à peine 10 minutes et tu as déjà terminé 2 plats entiers !!"

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Je souris fièrement sous ses yeux ébahis.

Nous finîmes notre repas après 30 minutes.
Tartaglia laissa une énorme bourse de 20000 Moras sur la table (alors que le repas ne coûtait que 15000 Moras...) Et nous partîmes.

Moi : "Que faisons-nous maintenant ?"

Childe : "hmmm voyons voir...
C'est bientôt la fête des lanternes, donc que dirais-tu de nous préparer à cette fête ?
Tu ne dois pas l'avoir fêté depuis tes 5 ans non ?"

Moi : "oh oui !! Mais...je n'ai pas de tenue, ni d'argent sur moi..." Dis-je en regardant les robes dans la vitrine de vêtements.

Childe : "c'est pour cela que j'ai dit 'nous préparer' à la fête"
"Et puis, toutes les dépenses d'aujourd'hui seront sur moi"

Moi : "Je ne savais pas qu'être vendeur de jouets rapportait autant d'argent..."

Childe : *hum* "oui...si on veut..."
"Dépêches-toi d'entrer dans la boutique et de choisir la robe que tu veux."

Sans contester j'entrai dans la boutique.
Au premier coup d'œil, je sus déjà quelle robe je mettrai à la fête des lanternes. La robe (c/p) près du comptoir était LA robe qu'il me fallait.

Je m'empressai de la saisir et d'aller dans la cabine d'essayage pour me changer.

Quelques instants plus tard, je sortai de la cabine, habillée de la robe aux motifs rappelant les lanternes.
Je rejoignai Tartaglia qui admirait les autres robes accrochées sur la devanture de la boutique.

Moi : "Tartaglia, tu en penses quoi de cette robe ?"

À ma voix, il se retourna pour me regarder en face.
Surpris, il me scruta puis détourne rapidement le regard.

Childe : *hum* *hum* "elle....elle te va à merveille (t/p)" me répond-il gêné.

Je crus voir un empourprement sur son visage. Cette pensée fit légèrement battre mon coeur.

 Cette pensée fit légèrement battre mon coeur

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Moi : "c'est décidé. Ce sera cette robe alors".

La vendeuse m'emballa la robe dans un joli papier cadeau et me le remit. Tartaglia la paya et nous repartîmes nous promener en ville.

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Vers la fin de la journée, nous nous asseyâmes sur le bord du quai et admirions le coucher de soleil.

Moi : "ahhhhh, l'air marin de Liyue m'avait tellement manqué."

Je fermai les yeux pour ressentir la douce brise effleurer mon visage.
Je les réouvris après quelques instants, et remarquai du coin de l'œil, une paire d'yeux qui m'observait.

Moi : "que.... Pourquoi m'observes-tu ?? Tu devrais plutôt observer le beau coucher de soleil non ??"

Childe : "À vrai dire, j'ai trouvé quelque chose d'encore plus beau à regarder" s'exprime-t-il en me scrutant et s'armant de son sourire le plus charmeur.

Moi : "Qu'est-ce que-" dis-je en m'étouffant dans mes propres mots.

Mes joues devinrent légèrement rouge.

Mais je remarquai que son visage s'était assombri, renfermé.

Mais je remarquai que son visage s'était assombri, renfermé

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Childe : "À vrai dire...je n'éprouve pas grand chose en regardant ce coucher de soleil..."
"Après tout, ce n'est qu'un soleil qui se couche.
Il est aussi naturel et fade pour moi qu'un oiseau qui chante ou que la mer est bleu." Déclara-t-il le regard perdu dans le vide.

Je ne trouvai rien à lui répondre. Je préfèrais me taire et lui laisser reprendre ses esprits.

Le coucher de soleil n'était plus visible, et la lune apparût, illuminant faiblement le ciel.

Il était temps que j'aille me coucher. Il était trop tard pour rentrer chez moi, donc, ayant du travail à faire ce soir par la même occasion, Tartaglia me laissa sa chambre près du restaurant Wanmin.

Il m'accompagna à la porte de la chambre, me laissa la clé et me fit un signe de main avant que l'on ne se sépara. On se rejoindra- ou plutôt il me rejoindra ici demain matin pour de nouvelles aventures.

À suivre

Tartaglia X ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant