Ariana and Alex

Chapitre 15

J'ai avalé la salive qui s'est accumulée dans ma bouche. Elle avait vu ces messages. Mince. Comment allais-je gérer ça. Ce n'était ni le moment ni le lieu. Sa famille, ses amis et son équipage étaient tous derrière elle et si elle commençait à provoquer une scène, je suis sûr qu'ils voudraient tous regarder les sièges au premier rang. "Ari... pouvons-nous" j'ai commencé à lui tendre la main. « Êtes-tu en train de mourir ?? Êtes-tu malade et n'a tu qu'un temps limité à vivre ? Est-ce pour cela que tu as accepté de rester sur toute cette tournée ? » Elle commence à élever la voix et à rassembler un public. Sa mère a l'air inquiète avec quelques-uns des danser de la tournée, il son à la porte. "Ariana s'il te plait" je supplie et attrape ses deux mains dans les miennes "ce n'est pas le moment"

"Ah alors, quel est le bon moment ? Quand tu seras mort ? Quand je serais veuve et que je déposerai des fleurs sur ta tombe. Mais ce n'est pas grave, pas besoin de le dire à Ariana, elle va juste paniquer. Alors, qu'est-ce que tu pensais ne pas dire ? Tu veux pas me le dire a moi pour que je n'annule pas cette tournée ?" D'accord, elle a l'air folle maintenant et son esprit s'emballe. Elle n'a aucun sens. Elle arrache ses mains des miennes et commence à essuyer les larmes qui se forment alors qu'elle continue son cinéma.   "Tu es un putain de trou du cul. Tu ne me dis rien jusqu'à ce qu'il soit trop tard et déjà arrivé" elle a poussé ma poitrine avec les deux mains me faisant tomber en arrière et heurter le mur. Je n'ai pas remarqué qu'un morceau de métal en sortait. Mais par Dieu, je l'ai senti. "Jésus putain de Christ!" J'ai poussé un cri. Ce n'était pas contre elle. C'était au morceau de métal de merde qui a frappé ma colonne vertébrale. Cela allait laisser une trace.

J'ai regardé Ari alors que j'essayais de tourner le dos pour voir la taille de la chose. Je n'ai pas eu de chance. J'ai vu son visage. Elle était folle. Je n'avais jamais vraiment crié en sa présence, et encore moins après elle. Ariana haletait fort et son visage était rouge et ses yeux sont devenus noirs au lieu de ce marron. Je ne l'ai pas vu venir. Mais je l'ai senti. La claque résonna dans le couloir. Ma tête a basculé vers la droite sous l'impact et j'ai entendu les halètements de ceux qui m'entouraient. Ils ne s'y attendaient pas, tout comme moi. "Ariane !" J'ai entendu Joan crier. "C'est quoi ce bordel Ari" c'était Frankie. Tout le monde regardait maintenant et j'ai timidement retourner ma tête vers elle pour rencontrer son regard. Ses yeux étaient vitreux de larmes et je suis sûr que les miens l'étaient aussi.

Je pense qu'elle était trop en colère pour réaliser ce qu'elle avait fait ou cela n'avait tout simplement pas encore été enregistré. Elle a placé sa main sur ses hanches et a secoué la tête et a poussé un sanglot et s'est retournée et s'est précipitée en direction de la sortie. J'ai regardé Joan qui allait la suivre. C'était mon problème à résoudre. J'ai secoué la tête 'non' puis j'ai fait un petit sourire et j'ai suivi Ariana. "Ari !!!!!" "ARI !!!! " ARIANA !!! PUTAIN TU PEUX T' ARRÊTER!" Je criais après elle alors qu'elle se déplaçait rapidement dans le couloir. Je l'ai regardée se précipiter dans sa loge et elle était là quelques secondes avant de se précipiter. Elle avait son sac sur son bras et son téléphone dans sa main. Je me suis précipité dans la loge et j'ai attrapé mon sac à dos, puis je l'ai suivie. Dieu merci, mes valises étaient déjà parties.

Je l'ai vue s'approcher de sa voiture et la porte était sur le point d'être fermée mais j'ai pu la saisir à temps et la maintenir ouverte. Je me suis jeté à l'arrière de la voiture. J'étais haletante à cause de l'adrénaline de la course et de toute la soirée. "Sorte", elle regarde par la fenêtre. "Ari..." . "J'ai dit de foutre le camp !!!" Elle me crie dessus et tourne son corps et frappe ma poitrine avec son bras. "Non... je ne vais nulle part. Maintenant tu vas me parler comme un putain d'adulte au lieu de te comporter comme un enfant idiot !" mon tempérament commençait à vaciller maintenant. J'avais été giflé, on m'avait crié dessus et j'avais aussi dû courir... J'étais à bout de patience. "Je ne crois rien de ce que tu dis, parce que tu es un putain de menteur qui ne pense pas assez à moi pour me dire quoi que ce soit, tu t'envoles ici, tu ne me dis rien, tu reçois des textos de ton ex, tu ne me le dis pas ! Maintenant, tu fais faire des putains de tests pour Dieu sait quoi et encore... oh devinez quoi TU NE ME DITES PAS PUTAIN !!!! » elle est rouge sur le visage maintenant et très animée.