Sa faisait cinq mois, cinq putain de mois que je me masturbais le soir en pensant à elle. Quand je couché avec quelqu'un j'imaginais que c'était avec elle, ce qui me faisait venir vite. Elle me hantait bordel. Et je savais que je lui plaisais, j'avais entendu dire par une collègue Madame Lorw qu'elle l'avait surprise en train d'écrire "Payne est orgasmique" sur son cahier. J'ai donc toutes mes chances. Ça fait cinq mois que à chaque cours elle danse en m'ignorant, cinq moi que je me retiens. J'avais cours avec sa classe tous de suite, et elle m'ignorait encore et encore. Ce qui me rendait complètement fou. Elle me rendait fou. Le cours était fini tous le monde était partit se changer, je partis donc fermer les portes du vestiaires mais en ouvrant la porte de celle des filles je la vis. Elle était là, en sous-vêtements à dentelles avec ses yeux écarquillées. Putain je bandais déjà. Son corps était putain de parfait. Elle se cacha du mieux qu'elle pouvait alors je rentra et ferma la porte à double tours. Je m'approchais d'elle alors qu'elle reculais jusqu'à percuter le mur, cliché pensais-je
J'enleva ses mains de son corps et lui mordilla le lobe de l'oreille en lui chuchotant "alors comme ça je suis orgasmique?" Elle se mit à sourire. Pourquoi elle sourit? Elle se mit sur la pointe des pieds en se collant à moi et me chuchota à son tour "ce n'est pas moi qui se fait plaisir en pensant à vous dans les salles de cours?" Je resté bouche bée. Comment le sait-elle? "tu m'espionne donc?"
"tu es juste pas discret, heureusement que moi seule était dans les couloirs"
Je pris sa lèvre entre mes dents et la mordilla en empoignant son postérieure. "tu me rend fou depuis que je t'ai vu dans cette voiture" "depuis cinq moi je me branle en pensant à toi" "n'a tu pas envie?" Je la fixa droit dans les yeux. "je ne suis pas ce genre de fille à baiser avec son professeur ni avec qui que ce soit d'autre dans le lycée" "vous pourriez avoir des ennuis et moi aussi" Elle avait raison, oui totalement raison mais je m'en foutais je la veux maintenant toute suite. "il n'y a personne, Hailey je n'en peux plus, je te veux maintenant"lui chuchotais-je "tes désirs sont des ordres" et elle empoigna mon t-shirt et mon jogging alors que j'avais retiré mon jogging.
