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Tout devient vite intense. Ma respiration s'altère, elle est de plus en plus rapide. J'ai cette envie de la toucher de partout. Caresser ses épaules, embrasser son cou effleurer ses mains...

Mes mains descendes le long de son corps touchant ses seins, chatouillant ses hanches. Je pose mes mains sur ses cuisses, elle prend ma main droite et la pose délicatement entre ses jambes. Je n'hésita pas. J'en ai envie. J'ai envie d'elle ...  

Alors je déboutonne son pantalon noir,  caresse son ventre puis je la regarde une dernière fois dans les yeux, des yeux émeraude de tendresse désirants de libérer cette part d'elle refoulée, cachée, emballée. Je le vois dans ses yeux qu'elle-même ne comprend pas ce qu'il ce passe , poussées par nos envies, nos désirs profonds, comme une balle au plus profond de notre corps enfouie, coincée. Comme si ce soir chacune avait retiré cette balle si encombrante, porteuse de toute nos craintes, pour enfin laisser s'échapper ce sang laissant cette plaie ouverte, pour enfin nous laisser la possibilité de cicatriser.

une main dans sa culotte en dentelle je lui fait goûter à ce nouveau plaisir, immaculé de tendresse, elle gémit me sourie et attrape mon cou dans la foulée, pour y aspirer ma tristesse et me laisser cette trace rouge  de ses lèvres brûlantes. Je sent enfin ce liquide ce propageant sur mes mains, elle pousse un dernier gémissement avant que je retire ma main et ne la pose sur ses seins , l'embrassant à tout allure. Elle, la main dans mes cheveux et l'autre sur mes fesses, détache sa bouche de mon cou pour y faire glisser sa main sur mon short et le déboutonner rapidement... Je reviens à la réalité brusquement quand la porte gémis, me signalant la présence de quelqu'un. Non ! Pourquoi ? j'étais si bien. Je veux rester avec elle, continuer à ressentir ce que j'ai ressentis quand je la touchais, je veux revivre cette sensation, ces désirs qu'aucune drogues n'a jamais sût satisfaire . 

Avant même que j'ai le temps de lui demander de rester je la vois reboutonné son pantalon mettre son tee-shirt et me laisser là, seul avec ce type. aucune sensation ne me vient je suis vidée complétement seul, de retour, coincée avec mes pensées.

-Euh je peux pisser ?

Sans même réfléchir prise par une haine si intense. Je jeta ma chaussure sur la porte fondis en larme et hurla :

- MAIS TA MERE LA PUTE ! 

Mes yeux se ferment et mon énergie disparaît comme vidée par toute ses émotions si intense que j'ai ressentis.

Le lendemain matin...  

Qu'est-ce  que cette odeur de pisse? J'ouvre les yeux et voit le même mec qui nous as interrompu hier. Il pisse en me tournant le dos donc je prend mes affaires me lève, puis me voyant me lever dans le miroir il lâche un cri de surprise et en fout partout à côté.

- Eurk ! 

l'odeur empire alors je préfère partir. Mais pendant que je me dirige vers la porte le mec marmonne :

- Salope

je me retourne lui fout un coup de pied dans le cu le faisant dévié encore une fois, puis part en lui faisant mon plus beau doigt d'honneur.

je m'enfonce dans le canapé pour lire mes messages comme-ci de rien n'étais. Un message de ma mère à 00h :

"je serai pas là demain matin mais Jay va passer te donner des croissants :)) "

Merde Jay ! Je me lève, récupère mon vélo et rentre chez moi .

Je met la clé dans la porte, la tourne et abaisse la poignée. Je reconnais tout de suite l'odeur de maison. Une odeur apaisante m'ayant accompagnée durant toute mon enfance.

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⏰ Dernière mise à jour : Jul 08, 2022 ⏰

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Rêve Échoué [TERMINE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant