A la vida y la muerte. Chapitre 12

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DANS LA PEAU DE YOUNES

Je vais en taule, c'est ouf, je sais pas comment je vais faire sans Aaliyah, a peine que l'on viens de se retrouver, que nous nous séparons déjà. Une nouvelle épreuve. Mais je l'accepte. Allah éprouve ce qu'il aime après tout. Mais j'ai gravement peur que Aaliyah ne tienne pas le coup, elle est si fragile. Un ans, un ans séparé d'elle je n y arriverais pas, je ne pourrais pas. Je sais y a les visites, mais sa je ne peux pas, je ne la laisserai jamais poser ses pieds dans un endroit aussi salle. Aaliyah elle me rend fou, je serais prêt à tout pour elle, tout, je veux me marier avec elle, qu'elle soit la mère de mes marmots, je me voit pas avec une autre qu'elle. Et que dieux en soit témoint, sans elle je ne pourrais pas, si elle tombe, je tombe, si elle meurt, je meurs.

DANS LA PEAU DE AALIYAH :

Je me réveille, je me rend compte que j'arrive a l'hopital. J'ai sallement mal à la tête. Je vois ma mère endormis sur la chaise de l'hopital. Un medecin entre dans la chambre.

- Bonjour Mademoiselle.

- Bonjour.

- Vous allez mieux ?

- J'ai mal a la tête..

- Pas étonnant, à ce que je peux voir, vous avez le cancer, et vous ne semblez pas prendre vos médicamments selon les analyses. C'est grave vous savez ?

- À quoi bon me battre, j'ai accepté le fais de mourir, n'allons pas tous quitter se monde un jour, certes mon départ ce fais plutôt que certain, mais je l'accepte, je suis en paix avec moi même, je vis bien avec ma maladie, je sais que cela peut semblait égoïste, j'ai une famille qui va souffrir sans moi, mais c'est le destin, je devais mourir, il reussiront a vivre sans moi, je le sais, et de toute façon mon cancer était trop pousser pour que des medocs me soignent, alors comprennais que je ne me suis pas plus battut et que de plus j'aime mes cheveux -dis-je en rigolant- .

- Vous avez de sage paroles, et je comprends, mais vous auriez pu vous battre . Si seulement ..

- Avec les "Si" nous pourrions changer le monde .

Après cette courte discussion, j'ai pu rentrer chez moi, je me suis habillée, puis j'ai réveillé ma mère, elle m'a embrassé, elle a eu peur. Je l'ai vue dans son regard. Comment vivra-t-elle mon départ ? J'ai peur pour elle. Mais le grand frère est là, les petits aussi,ainsi que ses sœurs et frères, et des amis, elle ne sera pas seul, et je sais qu'ils seront prendre soin d'elle.

Younes, lui n'a personne, comment vivra-t-il mon départ ? Si ma mère peut le faire, alors lui aussi, non ?

J'aimerais qu'il retombe amoureux, qu'il ne se laisse pas abattre, qu'il se reprenne en main, se repentit, soit près de sa famille et même fonde une famille.

Deux mois sont passés, j'ai arrêté les cours, je sens mon cœur lâcher, la mort rode autour de moi, je prie, je lis le Qu'ran, je pense, les journées passent si lentement, trop lentement. Il ne se passe rien dans ma vie. Je suis juste malheureuse. J'appelle Younes tout les jours, il sera libéré plus tôt pour bonne conduite, j'ai sauté dans tout les sens quand je l'ai appris, je suis fier de lui.

Quatre mois sont passés, Younes sortira dans deux ou trois mois. Depuis quelque temps je me sens faible, j'ai peur de ne pas tenir d'ici là. Je suis toute la journée dans mon lit. J'appelle Younes :

- Mon amour -dis je en criant-

- Ça va Aaliyah -souriant-

- Oui hamdulilah et toi ?

- Ouais, c'est dur sans toi. Tu me manque grave, serieux Aaliyah.

- Je sais Younes, je sais.. A moi aussi, tu me manque.

- J'veux faire ma vie avec toi, Aaliyah.

Je me mise a pleurer, il voulait faire sa vie avec moi, moi, Aaliyah. Que répondre a ça quand je sais que bientôt je ne ferais plus partie de ce monde.

- Il faut que je parte Younes, bisous.

J'ai raccroché, puis j'ai pris pris une feuille et un stylo. Je me suis mise à écrire une lette pour Younes. Une lettre qui lirait une fois qu'il sortirait de prison. J'écrirais sur cette lettre tout les mots que je ne peux pas lui dire en face.

Six mois sont passés depuis ma sortis de l'hôpital. Je suis partie faire les courses se matin, quand tout d'un coup je suis tombée au sol, j'ouvre les yeux, l'éclairage me transperce les yeux. Je me sens faible, tellement faible, trop faible pour parler n y même faire un geste. Ma mère est a côté de moi en pleure, j'essaie du mieux que je peux de la prendre dans mes bras.

- Yemma calme toi.

- Benthi me laisse pas.

- Yemma tout ira bien, n'oublie jamais que je t'aime.

- Moi aussi benthi.

- Embrasse fort les petits yemma.

Ma mère tombe en sanglot, elle pleure a chaude larme. Elle m'embrasse le front.

- Yemma, j'ai sous..sous mon coussin une lettre donne la à Younes.

- Younes ?

- Tu comprendras..

Je me suis posée sur le lit paisiblement, j'ai recité la chaâda, puis j'ai laissé mais yeux se fermer.

Un mois après.

DANS LA PEAU DE YOUNES :

Aujourd'hui je suis libéré, enfin ! J'appelle Aaliyah depuis un mois tout les jours mais elle ne me répond pas. Je ne comprends pas.

J'ai envie de l'embrassé, de la prendre dans mes bras, de lui dire je t'aime 300.000 fois par jours, je ne lui ferais plus jamais de mal, je sais je fais le canard mais je m'en fou. Aaliyah c'est ma princesse khlass.

Je l'appelle avec mon tel, elle répond pas cette folle, putin de merde j'ai fais quoi ! Faut que j'aille la chercher chez elle, mais h'cheum sa mère je l'ai jamais vue, et à mon avis elle ne lui a jamais dit pour nous. Mais elle ne me laisse pas le choix cette folle, elle me fait zeheff je suis un pd moi, elle me répond pas.

Je marche je vais chez elle, je toque à la porte, une fois, deux fois, trois fois, mais ca ne répond pas. Il commence à faire tard : vingt et une heure. Je m'assois devant la porte, j'attendrais. Aaliyah c'est ma mra.

Une heure plus tard une femme âgée et voilée ma shâ Allah arrive, le visage fatigué, les yeux cernés.

- Wouldi.. Tu veux quelque chose ?

- Salam, euh oui Aaliyah est là ?

Elle se mise à pleurer soudainement, j'ai pas compris, elle rentre chez elle et me dit de l'attendre. Elle revient et me tend une lettre.

Je l'a tiens dans mes mains mais je ne l'ouvre pas, je marche, marche et marche jusqu'à arriver devant un endroit, c'était le vide en face de moi.

J'ouvre cette lettre les mains tremblante.

" Mon amour, Younes.. Lorseque tu liras cette lettre je serais déjà probablement morte. Je pars de ce monde mais je remercie Allah de m'avoir fait connaître l'amour, de m'avoir fait connaître toi You'.
L'amour fait souffrir, j'ai souffert, trop souffert, tellement souffert de cette amour pour toi. Le cancer m'aura tuer , je pleurais tellement à l'hôpital en pensant a toi, j'avais peur pour toi, peur de ta réaction. Peur..
Je suis morte vierge,j'aurais aimé me marier puis m'offrir à toi. Younes.. Je t'aime, ne l'oublie jamais. Younes fait ta vie, ai une femme, des enfants, trouve un travaille, rend ta famille fier. Rend moi fier. Je t'aime Younes, je t'aime.

Aaliyah ta princesse."

Je me lève en pleure, je hurle de toute mes forces "AALIYAH !!!! NON PAS TOI, PAS MA AALIYAH !!!!" Ya rabbi je ne pourrais pas. Non je n y arriverais pas. Je m'approche de ce vide qui est en face de moi. Je récite la chaâda, je pleure de toute mes forces mais je ne peux pas vivre sans Aaliyah. Aaliyah et moi nous sommes reliés à la vie, et à la mort. Oui, Aaliyah et Moi à la vie et à la mort. Je tente l'irrémédiable, j'avance mon pied dans le vide et laisse mon second pied suivre le mouvement. Allah pardonne moi.

A dieux.

FIN.

*L

AALIYAH ET YOUNES A LA VIDA Y LA MUERTE.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant