"Vide"

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Elle est vide.
Elle fait de la peine, car personne ne la comprend. Et se qui est encore plus triste c'est que pesonne n'essaye de la comprendre.
Cela fait maintenant 6 mois que Ana est arrivé dans cette école, en terminal. Elle n'a que 16 ans mais c'est du à sa grande inteligence.
Elle n'a jamais voulu aller dans une école specialisée pour les genies de son genre car tout simplement cela ne l'interessait pas, elle avait d'autre projet pour le moment, ne pas se faire remarqué.
Vu son manque de compassion et son manque de sociabilité, elle s'est rapidement tapis dans l'ombre. Elle a même reussit a faire fuir les gens autours d'elle car elle puait des fesses. Elle ne les lave jamais, elle ne peut pas, elle n'y arrive pas.
Tout se passait plus ou moins calmement jusqu'à l'arrivé de celui qui l'avait mise dans cet état.
Son père, Moon Moens, se présentait devant la classe comme étant le prof remplacant de madame Grâce, la prof de science, qui était tombé enceinte et dont la vie était, en conséquence, en danger.
Le corps de Ana se mit à trembler violement et ses poumons se mirent à se compresser, elle suffoquait. Voila bien 8 ans qu'elle le fuiait, comment l'a-t-il retrouvé.
Avait-il raison quand il lui hurlait que si elle partait de la maison, il l'a retrouverait peu importe le temps et les moyens? 
Elle ne tremble pas que de peur, mais aussi de dégout envers son père ainsi qu'envers sa propre personne d'avoir laissé son violeur et le tueur de sa maman en liberté.
Un traumatisme qu'elle ne pourra jamais oublié. Qu'elle le veuille ou pas personne ne la croira. La police n'a pas cru une enfant de huit ans essayant d'explique qu'elle se faisait violé toutes les fois ou l'équipe de foot de son père perdait un match. La plaçant juste dans une famille d'acceuil random.
Tout les yeux était rivés sur elle, pourtant personne ne bougeait. "Est-ce cela le sentiment de solitude ?" était sa dernière pensée.
Elle finit par trembler jusqu'à sa mort, du à sa crise d'asthme non traité, avec comme dernière image, celle de son père la regardant avec envie...

" Dommage j'avais préparé de la cire pour nos retrouvailles"

FIN 

Ana la vide ( one shoot )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant