chapitre 2: un cauchemar

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» Tu dois te marier et fondé une famille tu es trop sélective alors j'ai pris la peine de t'aider, en plus il est respectueux.

» Je ne sais pas maman.

» Juste discute avec lui.

    Je me rends au rendez-vous avec le fils d'une amies de ma mère. Je l'attends depuis dix minutes à la table qu'il a réservé, après trois minutes je vois un homme charmant, teint assez clair, bien habillé venir vers moi.

    Lui » bonsoir lilah je suis Justin le fils de l'amie de ta mère. Il me prend la main et y pose un baisé et me sort un sourire charmeur.

    Moi « enchanté, tu connais déjà mon nom!

    » Oui, ta mère m'a beaucoup parlé de toi, elle avait raison, tu es magnifique.

    « Merci, je lui souris.

    Une serveuse s'approche et nous demande ce qu'on a choisi.

    Justin » pour moi du vin blanc le plus cher que vous aillez et la même chose pour madame

    Moi « eh non, je ne bois pas je...

    Lui » alors un cocktail naturel bien frais pour madame.

    La serveuse « d'accord tout de suite.

    Là, je me dis. (d'accord, j'aurais pu choisir, mais bon)

    Il regarde mal la serveuse et la rappelle.

    Lui » et éviter de me regarder comme ça, vous voyez bien que je suis avec une dulcinée, les hommes comme moi ne sont pas fait pour les femmes dans ton genre.

    Il exagère elle nous à juste sourit, je me suis sentie gêné. Il a passé la soirée à parler de lui et de notre soit disant mariage.

    Ce matin, c'est un rendez avec un client pour lui faire visiter une de nos plus grande maison, mais il en retard, je l'attends encore dix minutes après je vois un homme noir grand bien habillé, il s'approche de la maison et me regarde.

    Client » bonjour Madame, je suis là pour visiter la maison, je m'appelle Nicolas

    Moi « oui bonjour, je m'appelle Dalilah, je suis chargée de vous faire visiter, si vous voulez bien me suivre.

    Il me suit, je lui fais la visite de la maison il a l'air intéressé, il sourit, mais ne parle pas beaucoup.

    Moi » et enfin voici la cuisine, on a procédé à des modifications pour qu'elle soit moderne, mais chaleureuse, j'espère que ça vous plaît

    M. Nicolas « oui, elle est superbe et envoûtante. Avec un sourire

    Moi » ravie que ça vous plaît, si vous êtes intéressé, je peux préparer les papiers...

    M. N« je suis tout excité à l'idée qu'elle m'appartienne. En me tenant par la taille, je sursaute presque et me détache.

    Moi » que ce que vous faites

    M. N « oh, ne faite pas l'innocente, vous ne faite que me chauffer, j'ai bien compris. Il me prend la main et le tire vers lui essayant de m'encrasser.

    Moi » non, je ne faisais que mon travail, arrêtez !

    Lui « Ne t'inquiète pas ton patron n'en saura rien et je te donnerais plus d'argent que tu en avais jamais eu.

    Il me touche partout je crie et essayer de me détacher de lui, mais il me gifle si fort et me jette sur le sol, c'est aller si vite, mais c'était tellement long et douloureux je me suis sentie au plus mal je ne pouvais plus bouger je voulais juste me réveiller de ce cauchemar il me jette des billets et s'en va. Je reste comme ça pendant je ne sais pas combien de temps essayant de me dire que c'est un cauchemar je me lève j'arrive à peine à marcher je me dirige vers les toilettes prend une douche froide en pleure j'essaye de chasser ces images ignobles de mon viol en tête, Je n'avais jamais imaginé que cela allait m'arriver, je tremble de froid et de peur, je ne peux pas conduire, je prends un taxi et le rends à la maison, j'évite ma mère qui me pause des tas de questions et m'enfermer dans ma chambre, j'y reste toute la journée, j'ai des appels de mes employés.

"Accepte ce qui est, laisse aller ce qui était, aie confiance en ce qui sera."

    Je passe la nuit a pleurer et à réfléchir, le lendemain, je me prépare comme chaque matin et je sors très tôt pour ne pas rencontrer ma mère, mais elle me voit sortir et m'appelle.

    »Que ce qui t'arrive lilah

    Je ne la regarde pas dans les yeux et fais semblant de faire un message.

    « Rien maman, je dois y aller

    » Il est six heures quarante ma fille, tu n'es pas en retard, dis-moi ce qui ne va pas. Je lui tourne le dos, je ne peux pas la regarder, je vais fondre en larmes et l'inquiéter.

    « Rien maman ne t'inquiètes pas, j'ai une chose importante à faire. Et je pars, je ferme mon bureau et fond en sanglots, je suis tellement dégoûté, mais je me ressaisis et reprendre le travail.

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⏰ Dernière mise à jour : Feb 16, 2022 ⏰

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Dalilah⚘Où les histoires vivent. Découvrez maintenant