Retour chez moi!

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• Z   E  Y  N   A   B •

Me revoilà dans cette maison, d'où rien n'avait changer. Mon cœur battait à la chamade, je ne voulais pas montré mon air renfrogné, Rahim me tenait la main fortement comme si il avait peur que je me volatilise ou que je disparaisse. Et je voulais montrer à ces femmes que j'étais de retour pour leurs montrer que je n'étais plus la jeune femme sensible, apeurée et qui ne se plaignait pas autrefois.

On était assis au salon tous réunis, Maman Mariam et Fadima essayaient de cacher ce qu'elles ressentaient, mais je pouvais lire de la haine, l'amertume en mon encontre.

Rahim: Maman je suis revenu en paix avec ma femme, tout ce qui s'était passé était un malentendu. Je veux la paix dans cette maison, je vous aime tous et j'aimerais que vous vous aimez les unes que les autres mutuellement. Prenons une nouvelle initiative et repartons sur de bonnes bases. Et j'aimerais demander pardon à toutes personnes de cette maison car il y'a eu un moment où je ne me reconnaissais plus vraiment. Alors à cause d'Allah j'aimerais que vous me pardonnez  et surtout à toi Zeynab ma chérie pardonne moi..

Il tourne la tête vers moi, il encre son regard dans le mien et mon cœur me faisait mal le voyant dans cet état.

Moi: euhh... je..oui..tout était un malentendu donc tout est pardonné. Tu es mon mari et je ne t'en tiens pas rigueur. Je..je..

Il me donne un bisou vite fait sur la joue, et je vois les sourcils de Maman Mariam et Fadima se froncés puis je tourne la tête et encre mon regard dans ceux de ces femmes avec un grand sourire.

Moi: de mon côté tout va bien chéri, je suis de retour chez moi.

En les fixant chacune , oh que j'aime cette nouvelles personnalité que je suis devenue.

Rahim : oui ici c'est ta maison, chez toi. Tout ce qui appartient à Rahim Sylla t'appartient de plus belle.

Je parlais avec mon mari oubliant la présence de Belle Maman et Fadima.

Maman Mariam : si vous avez fini je peux parler maintenant, enfin si je crois. je prend de l'âge je suis ta mère je ne veux que ton bonheur, comment puis-je faire du mal à ta femme je la considère comme ma fille.

Elle arrangea son foulard et reprit parole avec quelques gouttes de larme qui avait commencé à couler pour culpabiliser son fils

Maman Mariam: je n'ai rien a gagné à la nuisant, elle est chez elle. Je ne suis qu'une vielle femme qui n'attend que son jour, j'ai fait ma vie et je ne veux qu'une seule chose maintenant. Je veux entendre mes petits enfants m'appeler grand mère. Mes amies ont tous des petits fils et s'en vente et moi je suis le sujet de moqueries. Je ne veux pas quitter ce bas monde sans voir mes petits enfants...

Elle retomba en sanglot

Rahim: maman l'enfant c'est Dieu qui donne, je t'ai toujours dit cela. Tu n'es pas aussi vielle que tu le penses, je te promets Insh'Allah que cette maison sera remplie des bébés et ils formerons une équipe de basketball juste là-bas.

Dit il en pointant du doigt sur le terrain de jeu qui se trouve dans la cour. Je ne vous ai pas décris la cour de cette maison, elle est gigantesque très espacée avec des fleurs qui perlent chaque côté. Et une piscine qui se trouve juste à côté du terrain de jeu. À l'intérieur, deux grands salons bien décorés et espacés, et quatre chambres. Chaque chambre contient une douche à l'intérieur.

Je me rends compte qu'il me fixait.

Rahim: laisse nous faire d'abord maman, le travail est en marche.Alors s'il te plaît, arrête de pleurer je n'aime pas voir tes larmes. Tu les auras Insh'Allah tu seras une grand mère jeune pleine de vie.

Zeynab: parcours d'une vie (2)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant