Albert Moriarty x OC (Moriarty the Patriot)

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Je m'appelle Alex et je suis un assassin professionnel. J'ai de longs cheveux noirs jais attachés en natte et des yeux gris. Ma tenue est la suivante :

Et voici mes armes (imaginez que les lames sont noires et pas bleues) :

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Et voici mes armes (imaginez que les lames sont noires et pas bleues) :

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Je reçois un télégramme de la part du gardien de l'immeuble où je vis. Je lis et un sourire narquois se dessine sur mes lèvres. Je vais m'équiper de mes lames (cf. média ci-dessus) puis sors de chez moi tout en saluant mon voisin qui rentre chez lui. Je me dirige vers la ville, sachant que j'habite à la campagne. Je sors de la gare tout en m'étirant le dos après ce long voyage. Au loin, je vois William et Louis. Un sourire carnassier se dessine sur mes lèvres et je les rejoins. Moran et Fred sont déjà présents. Je me glisse sans un bruit à côté de Moran et dis sans prévenir :

-          Je suis honorée que tu ais fais le déplacement jusqu'à la gare pour m'accueillir, William.

Un cri peu viril sort de la bouche de Moran, tout en faisant un bond sur le côté. Il me fusille du regard sous les regards amusés de William, Louis et Fred. Il peste contre moi. William me dit :

-          Ravi de te revoir Alex. Nous t'attendions.

-          Je suis là, William et j'ai hâte de commencer. Les nobles se font rare à la campagne ces derniers temps, surtout les mauvais.

-          C'est vrai que je t'ai chargée d'éliminer les mauvais nobles qui s'installent à la campagne fait William, un fin sourire sur les lèvres.

-          Allons-y dit Louis en ouvrant la porte de la voiture pour son frère.

-          Donne-moi ton adresse William, je vous rejoins dis-je en rabattant ma capuche.

Il s'exécute et me tend le morceau de papier. Je le remercie et disparais sans un mot. Moran va pour me demander quelque chose mais s'aperçoit que je ne suis plus là. Il monte dans le fiacre. Fred lui rejoint son fiacre. J'arrive devant la maison des Moriarty et m'aperçois que je suis la première à être arrivé. Je m'adosse contre le mur et les attends. Soudain la porte d'entrée s'ouvre sur un homme brun, aux yeux verts. Je me redresse et me présente en m'inclinant légèrement :

Recueil de one shotsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant