De lejos el fracaso

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                                       ♧Pdv Juan

Toujours dans la voiture à mes côté mon père, on observe la scène qui ce passe sous nos yeux, avec incompréhensions je tourne vers mon père.

_《 Elle savait pas qu'elle allait avoir un frère?》question je mon père

_《 Sabes,hijo mío on doit prendre des décisions difficiles, y tomaron la decisió de no decirlo, c’est comme ça on peut rien y faire 》me répond il d’une douceur qui est très étrange. (Tu sais mon fils/ et ils ont pris la décision de ne pas le dire)

_《 Mais c’est leurs fille, ca doit être horrible ce qu’elle doit ressentir, pero es al ser herido traicionado que uno hace más fuerte, sinon elle restera une fragile comme elle est en ce moment 》je lui dis droit dans les yeux sans flancher.

_《c’est la ou tu fais fausse route mi hijo》il ce stop un moment《cette fillette est forte mentalement regarde la , elle se retient de verser une goutte devant ces parents, l’audace qu’elle a eu de lever le tond de sa voix sur ces parents, si ce n’était pas la nina de javier j’aurais probablement voulu l’avoir membre de notre cartels. 》m’avoue t’il.

_《 On a pas besoin de faible comme elle dans nos rang》.

_《 Tu es têtu espèce d’idiot, ouvre t’es ojos joder, tu es le futur héritier et tu n’arrive pas a observer 》me dit il avec une pointe d’agacement.

_《 Je dois voir quoi dans une gamine qui prend male et chiale parce que ces parents n’ont rien dit, elle est faible et fragile》cette phrase sort d’une facilité qui me fait froid dans le dos.

_《 Tu verras la femme forte qu’elle va devenir et je te souhaite de finir ta vie avec une fille comme elle》ajoute il un clin d’œil

_《 Pffff....ridículo mi papa 》.

Après quelques minutes les Flores s’approche de notre véhicule, mon père décide de descendre, il les salue et commence a rirent et hablar entre eux. Je fou quoi la a perdre mon temps sérieusement, j’aurai pu rester a la résidence continuer mes entraînements a l’arme blanche, a la place je me retrouve la comme un imbécile de cirque. Un moment monsieur Flores ouvre la portière juste a côté de moi et me dit

_《 Juan, tu vas rester planté dans la voiture encore longtemps, aller descend vite et rejoins nous dans la casa 》m’ordonne t’il avec gentillesse, il est qui pour me donner des ordres. Mon père me lance un regard que haï, je descend de la voiture en montrant mon mécontentement.

En dehors de la voiture, j’observe autour de moi, c’est petit mais supportable, pourquoi on est là au juste qu’elle est le bute de notre venu au juste, et pourquoi ya juste moi qui est présent et pas mes frères.  On entre dans la résidence et on se dirige tous vert le grand salon qui donne sur l’énorme jardin séparé par une baie vitré.

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Presque 3h c’est écroulé depuis notre arrivée et je suis toujours assis dans cette maison des Flores, a parlé de leurs bon vieux temps et les voyages d’affaires. C’est fou comment mon père leurs fait confiance, a tout leurs raconter sur les affaires du cartel et de demander conseil auprès d’eux, pourtant ils n’ont aucun lien avec ce monde, je comprends plus rien pleins de questions ce bouscule dans ma tête, la voix de monsieur Flores me sort de ma parti de questions et j’en ressort sans aucune réponse.

La lloorona ha salido por lo que veo (la pleurnicheuse est de sorti a ce que je vois)

Elle s’approche en se positionnant devant l’encadré de l’entrée du salon en restant toute fois méfiante, des cheveux long d’un blond très rare au Mexique, ces yeux vert me laisse sans voix, hypnotisé par ces pupilles je ne détourne pas le regard elle fait de même, Catalina Flores je me souviendrai de toi ca tu peux en être certaine, je fais plus attention à ce qui ce dit autour, un moment j’entend parler de moi et mais j’ai rien entendu. Je décide de détourner et sortir de ces pupilles vert émeraude.

MèdusaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant